Une nuit au chalet (1) - Histoires de Sexe

Une nuit au chalet (1)

... son pantalon tout en m’agenouillant à ses pieds. Je croisai pour la première fois son regard. Des yeux marron-vert brillant de luxure. Elle se mordit la lèvre inférieure en retirant son bas. Je me retrouvai donc face à son intimité imberbe et luisante de désir. En approchant mes lèvres des siennes, je sentis ses mains se placer sur l’arrière de ma tête pour me plaquer contre elle. Elle avait un goût divin et je m’attelai à la satisfaire avec gourmandise. Ma langue jouait avec son clitoris que j’aspirais entre mes lèvres. Je la sentais remuer avec fougue le bassin contre mon visage tandis que ses mains gardaient ma tête contre elle, si bien que je faillis manquer de souffle à plusieurs reprises.

Après plusieurs minutes de dégustation, elle relâcha enfin son étreinte et me poussa sur le tapis devant la cheminée. Elle se mit à son tour à genoux et s’attaqua à ma ceinture afin de descendre mon pantalon. Elle attrapa de sa main droite mon membre déjà dressé et fixa mon regard avec appétit. Elle commença par faire des va-et-vient tout en me caressant les bourses de son autre main. Puis elle approcha sa bouche de moi. Elle me regardait toujours dans les yeux et je pouvais sentir son souffle chaud contre ma peau. Le premier coup de langue m’électrisa. Elle jouait avec moi comme une sucette, et elle avait l’air d’apprécier les sucreries... Je passais ma main dans ses doux cheveux pendant qu’elle me faisait la meilleure ...

... gâterie que je n’ai jamais connue. Sa langue savait me caresser là où il fallait ; ses lèvres se resserraient au moment idéal... C’était divin.

J’aurais facilement pu me laisser aller à ce moment, mais ce n’était pas ce qu’elle avait en tête. Après un dernier coup de langue, elle se redressa et se mit à quatre pattes en me tournant le dos. Comprenant l’appel, je me relevai également et vins me placer derrière elle. J’attrapai mon engin et commençai à lui caresser l’ensemble de son intimité au bout de mon gland. Je pouvais sentir son désir me lubrifier et alors que je me plaçais devant son trou bien ouvert, elle fit rouler son bassin, ce qui me fit entrer directement en elle. Elle ne pouvait plus attendre. Je fis d’abord des va-et-vient lents et profonds qu’elle accompagnait en ondulant devant moi. Je tentai de garder le contrôle, mais le désir me subjuguait et mes aller-retour se faisant de plus en plus rapides et de plus en plus violents. Ce qui avait l’air de lui convenir puisqu’elle se cognait également de plus en plus fort contre moi.

En quelques minutes, je la sentis se bloquer en arrière tandis que son orifice se serrait autour de moi.

Ce fut trop pour moi et je relâchai tout en elle.

Quand elle se retourna, toute luxure avait déserté son visage et elle me lança un dernier regard un peu honteux, mais surtout empreint de satisfaction avant de ramasser ses affaires et de partir vers les chambres.