1. Être vachue s'est merveilleux 17


    Datte: 22/08/2023, Catégories: Lesbienne Auteur: byLemaringouin, Source: Literotica

    ... une enfant assoiffée. En fait elle a besoin de se désaltérer après la merveilleuse soirée passée avec la comtesse. Après quelques minutes, Stéphanie allonge sa main vers le sexe de Sylvie, et d'un geste précis, elle passe les doigts entre les lèvres du vagin, encore humides par les attouchements subis quelques instants auparavant avec la comtesse. Sylvie glousse doucement en ressentant les gestes de tendresse de Stéphanie. Celle-ci cherche de son index le petit bouton érigé situé au haut du vagin. Elle le caresse de mouvements circulaires, ce qui fait monter l'excitation dans tout le corps de Sylvie, qui augmente la séquence de succion. Stéphanie continue à flatter le clitoris de la jeune vachue, et sent monter en elle un état de réconfort. Sa jeune amie n'a pas oublié ses cajoleries. L'amour qu'elle a pour cette superbe jeune créature stimule son sentiment maternel inné. Sylvie, allongée de tout son long sur les genoux de Stéphanie, écarte largement les jambes pour laisser plus de place au doigt inquisiteur qui lui fait sentir son plaisir de femme. Son corps a des soubresauts de jouissance. Ses membres inférieurs tremblent lors de la montée de son orgasme. Elle quitte le téton qui emplissait ...
    ... sa bouche.
    
     Aaahhh! oui, je jouis. Continue! Fais-moi mourir bonheur!
    
    Stéphanie en profite pour l'embrasser à nouveau sur la bouche. Elle entre sa langue profondément dans le gouffre de la jeune jouisseuse. Les langues s'entremêlent, se tortillent une avec l'autre. L'orgasme de Sylvie dure plusieurs minutes, puis tous les muscles de son corps se relâchent complètement. Elle est entièrement apaisée. Elle se détache des lèvres de Stéphanie. Elle a les yeux fermés, humidifiés par ce moment d'extase, et s'endort sur la poitrine de Stéphanie. Après quelques instants, celle-ci soulève le corps tout mou de la jeune femme comblée de plaisirs, et l'allonge sur le lit. Elle la borde et lui caresse la chevelure, comme le faisait sa mère lorsque, jeune enfant, elle l'apprêtait à dormir. Elle éteint la veilleuse de la table de nuit de Sylvie et se couche à côté d'elle, avec un large sourire aux lèvres. Sylvie l'a pardonné! Elle se colle sur le corps de la jeune vachue, et l'enserre dans ses bras fermement. Le contact de la peau du corps de Sylvie, la chaleur qui s'y dégage, le fait de retrouver sa jeune protégée, comme avant, tout cela la rassurent et l'apaisent totalement. Elle s'endort à son tour. 
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