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L'été de mes 18 ans 24
Datte: 21/08/2023, Catégories: Lesbienne Auteur: byJeunefilleperverse, Source: Literotica
Cette aventure a trois m'avait vraiment beaucoup plu et je me devais de raconter nos ébats à Clotilde. Ce que je fis quelques jours plus tard. Clotilde avait finalement passé quatre jours chez sa mère. Entre temps, Philippe en avait profité deux fois pour me sauter dessus dans la salle de bains. Je l'avais laissé faire, bien que cela me gênait un peu par rapport à Clotilde. Mais j'avais du mal à rester indifférent devant son sexe énorme. La deuxième fois, il me prit par derrière, penchée sur le lavabo, mais je refusais de le laisser m'enculer. Clotilde vint le soir de son retour toquer à la porte de ma chambre. A peine entrée, elle m'enlaça et m'embrassa fougueusement. Puis elle me demanda de me raconter ce qui s'est passé. Elle s'exclama : « Ah oui? Il a joui trois fois? C'est la première fois que cela lui arrive. J'en reviens pas ». « Et toi, c'était comment chez ta mère? », lui demandé-je. Elle me dit : « Il m'est arrivé un truc incroyable! Figure-toi que je me suis fait draguer! Par la boulangère! » « Non! Eh bien, tu ne perds pas de temps! Je parie que c'est pour ça que tu es restée plus longtemps! Raconte! » Clotilde ne se fit pas prier. « Oui, il lui a fallu quelques jours pour qu'elle ose. J'allais à la boulangerie tous les matins chercher le pain et des croissants et j'avoue que la boulangère, une belle brune plantureuse, ne me laissait pas indifférente. Elle avait toujours un décolleté profond et je salivais devant ses seins volumineux. Le ...
... troisième jour, il n'y avait personne dans la boutique et notre conversation prit une allure plus intime. Elle me raconta que son mari était une brute qui lui sautait toujours dessus sans prévenir. En général il arrivait par derrière, la courbait en avant et lui arrachait sa culotte. Au bout de quelques va-et-vient, il déchargeait avant qu'elle ait eu le temps d'éprouver le moindre plaisir. En parlant, elle s'était petit à petit approchée de moi et avait posé sa main sur mon bras. Il était presque 13h et elle ferma le rideau en me proposant de partager son repas. Son mari était parti en ville. Nous montâmes dans son appartement qui était juste au-dessus de la boutique. Elle me fit asseoir dans le canapé et alla nous chercher une bouteille de vin et deux verres. J'avais mis une robe d'été assez courte. Quant à elle, elle portait une jupe fendue et un chemisier. Elle s'assit tout près de moi. Sa jupe fendue ne cachait pas grand-chose de ses cuisses. Nous continuâmes à papoter en buvant le vin qui était assez corsé. En parlant, elle avait posé une main sur ma cuisse qu'elle caressait doucement. Je jouais la femme mariée et coincée et lui avouai que je ne prenais pas du tout de plaisir avec mon mari non plus. Solange me dit alors : « Ah les hommes! Ils sont vraiment décevants. Il faudrait sans doute se passer d'eux ». Je fis celle qui n'avait pas compris. Elle me resservit un troisième verre et je commençai à en sentir les effets. Je lui avouai que j'avais la tête qui tournait un ...