Histoire de famille, d'amitié et d'amour (16) - Histoires de Sexe

Histoire de famille, d'amitié et d'amour (16)

... toujours sa chatte sur le visage de Charlotte. Mais celle-ci découvre que bien qu’elle ne soit plus excitée, elle aime ça. Elle continue de lécher la mouille et fait des bisous à la fente de Laure.

Tout le monde est allongé par terre, épuisé. Sauf Joanne et Laurence qui n’ont pas joui, mais ont pris du plaisir à regarder.

— C’était vraiment trop bien de vous regarder ! s’exclame Laurence.

— C’est clair ! dit Joanne. Avec Laurence, on ne s’est pas caressées, mais juste vous regarder, c’était vraiment trop bien !

— J’ai remarqué que pour une hétéro, tu as bien aimé lécher ta Maîtresse, dit Laurence à Charlotte.

— Oui Maîtresse, et j’en suis moi-même toute étonnée.

— C’est vrai que quand tu as joui, j’ai senti tes mains serrer mes hanches, dit Laure, et que tu as mis ta langue bien profonde en moi.

— Oui Maîtresse, j’en avais vraiment envie. J’espère que j’ai été à la hauteur de ce que vous attendiez de moi.

— Oui, c’était très bien, lui répond Laure. Pour l’instant, je ne regrette pas que l’on t’ait prise comme servante.

— Merci beaucoup Maîtresse. Je ferai tout pour servir et satisfaire les moindres désirs de la famille. Je ne suis arrivée qu’aujourd’hui, mais je trouve votre famille très belle et unie. Et j’ai décidé d’essayer de dépasser certaines de mes limites.

— Lesquelles par exemple ? lui demandé-je.

— Je suis hétéro, mais j’étais prête à dépasser ça et c’est fait. Par contre, je ne sais pas si vous pratiquez l’Uro, mais je ne voulais ...

... pas faire ça. Avec vous et pour vous, j’accepterai de devenir vos w.c.. Mais uniquement pour l’urine.

— Pour moi, pas de soucis, lui répondis-je, car j’ai déjà eu une soumise qui était mes w.c.. Avec elle aussi, c’était que pour l’urine et de toute façon, moi c’est ma limite. Et vous les filles ?

Toutes acceptent, sauf Joanne.

— Bof moi, ça ne m’attire pas du tout. Mais je ne vous empêche pas de lui pisser dans la bouche, même devant moi. Ça ne me dégoûte pas de regarder, mais si je dois t’embrasser, tu devras te nettoyer la bouche si tu as servi de chiotte.

— Bien Maîtresse, c’est compris.

— Je pense que pour nous toutes, dit Marie-Hélène, c’est clair que ça doit être que pour l’urine. Et ce que tu dis de notre famille et ce que tu es prête à faire pour nous, moi ça me touche beaucoup. Et je ne regrette pas non plus que tu nous appartiennes.

— Par contre, je vais mettre du temps à m’y faire que Maîtresses Marie-Hélène et Laure sortent ensemble. Mais ça viendra. Que vous soyez mère et fille, ça fait trop bizarre.

— Ne t’inquiète pas, lui dit Laurence, pour moi, c’était pareil au début. Mais maintenant, c’est devenu quelque chose de normal.

— Maître Philippe, pourquoi vous n’avez pas éjaculé en moi ? Car je sers aussi à ça.

— Mon sperme est réservé à la famille. Tu me serviras de sac à sperme uniquement si tu es la seule présente. Alors là oui, j’éjaculerai en toi.

— Bien Maître. Quand vous parlez de la famille, c’est que vous trois ou Maîtresse ...