Ma tante, mon oncle et ... tous les autres (11)
Datte: 21/08/2023,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: Kama666, Source: Xstory
... casser le cul, te donner le martinet ! Tu vas voir comme j’en joue et crois-moi, c’est plus efficace que la cravache. (voir chapitre précédent).
Mais elle n’en a pas fini avec ma tante. Elle prend une roulette type pâtissier, entourée de pointes d’aiguilles et la passe sur les seins gonflés par le bondage et griffés de ses ongles. Chaque aiguille s’enfonce et marque la peau, avec sadisme, elle appuie encore plus sur la roulette, tout en lui triturant les tétons ... Jade bâillonnée ne cesse de gémir de douleur, de jouissance, je ne sais plus ? Son bassin se décolle et revient sur le mur, les poids se balancent entre ses cuisses écartelées, ils balancent tellement qu’ils cognent contre le mur. Malgré le bondage, les lèvres se sont allongées de manière impressionnante. Joyce abandonne la roulette, pour lui masser et caresser doucement le sein et en même temps elle recommence à la branler avec furie. Les mains s’agitent, branlent, caressent simultanément :
— Oui tu mouilles bien, j’aime te sentir comme ça, toute vibrante, toute dégoulinante. Hein que tu es une bonne salope, une bonne jouisseuse ?
Et ma tante les larmes aux yeux, tout en sueur fait signe de sa tête : Oui, Oui, Oui
Elle revient sur moi pour resserrer les pinces de mes tétons et s’occuper du gode. Je grimace de douleur. Elle tire dessus, mon anus contracté le bloque, elle pousse, il se relâche, mais ne s’ouvre pas assez. Joyce relâche, pousse, relâche, pousse comme pour déflorer une vierge :
— C’est ...
... parfait, il s’ouvre bien, mais attendons encore un peu, tout à l’heure, le deuxième œuf se mettra en place !
Jade et moi attachés, Joyce s’installe confortablement dans un fauteuil, prend plaisir à nous regarder, déguste une coupe de champagne. L’accoutumance aux pinces au gode fait que la douleur a disparu et mon exhibition m’excite. Elle s’amuse à nous faire gémir en jouant avec le gode ou les poids suspendus au sexe de ma tante. Après 10 minutes de repos, Joyce se lève, vient vers moi, me regarde d’un œil méchant :
— Toi !, je vais t’apprendre la politesse.
Elle tire mon sexe entre mes cuisses et l’attache vers le bas à la table à partir de l’appendice du bondage.
Debout le martinet en main, elle masse mon pubis totalement dégagé, le caresse et le claque du plat de la main pour recommencer de plus en plus fort. Il faut échauffer la peau comme elle dit, avant que le martinet ne la remplace. Le premier coup est donné sur le ventre, chaque lanière s’imprime sur la peau, puis les coups suivants marquent la poitrine, le ventre, le pubis. Elle frappe de droite et de gauche, sans répit, de plus en plus fort, Vlan ! Vlan ! Vlan !... La douleur est d’abord vive, les larmes me montent aux yeux, je serre les dents, je contracte mes muscles, je regarde ma tante, je suis fier de ma nudité, du spectacle que je lui offre, puis l’échauffement des chairs fait que le martinet frappe en irradiant toute la surface, le cinglement des lanières s’estompe, l’irradiation s’étend jusqu’à ...