1. Le cadeau de Gabriella (2)


    Datte: 20/08/2023, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: Blueberry89, Source: Xstory

    Le lendemain matin, je suis encore plus heureuse que la veille. Mon père a enfin cédé à mes avances et mon fantasme absolu s’est réalisé : il m’a dépucelée sans douceur et compte bien recommencer. J’ai tellement hâte de pouvoir à nouveau le satisfaire, lui dont les désirs sont si obscurs et violents. Je me remémore mes recherches sur ses historiques où l’on y voyait des femmes attachées, yeux bandés, soumises à plusieurs hommes ou même fouettées. Ces images restent ancrées dans ma tête et j’ai l’irrésistible envie de les réaliser avec lui.
    
    Entre mes cuisses, la chaleur s’installe et grandit peu à peu. Une idée me vient. Mon père doit sûrement dormir et Ugo, mon frère n’est pas encore rentré. Et si j’allais le réveiller ?
    
    Je me dirige à pas de loup jusqu’à sa chambre et l’y découvre allongé, nu sous les draps. Il est si beau comme ça, endormi, calme, serein... Je soulève le drap et découvre son sexe assoupi, posé sur sa cuisse. Mon cœur bat si fort, comme si j’avais peur de me faire surprendre. Je me faufile contre lui. Son torse monte et redescend doucement au rythme de sa respiration. Il dort profondément.
    
    J’ose glisser ma main sur ce corps encore bien conservé par le temps, sillonnant ses muscles de la pulpe de mes doigts. J’arrive jusqu’au serpent endormi, hésite puis y enroule mes doigts. Sa verge molle remplit ma main et j’approche mon visage pour l’observer de plus près tandis qu’elle gonfle sous mes caresses. Je n’ai pas vraiment eu l’occasion de la voir ...
    ... hier soir, mais cette fois, j’ai tout le loisir de l’admirer. Il continue de dormir, parfois secoué d’un petit sursaut.
    
    L’envie de le goûter est trop impérieuse et ma langue vient titiller l’extrémité de son membre qui commence à prendre des mesures disproportionnées. Je prends alors le gland violacé entre mes lèvres et aspire cette chair chaude et si douce au goût musqué. Je le suce lentement et descends petit à petit jusqu’à me sentir pleine. Et je n’en suis qu’à la moitié ! Je remonte au même rythme, avec douceur et patience, et je sens sa verge gonfler jusqu’à être aussi raide et dure qu’un bâton. Enfin un bâton, c’est un euphémisme, un gourdin serait un terme plus adéquat.
    
    Hélas, malgré toute ma bonne volonté, je n’arrive pas à le prendre en entier dans ma bouche. Je m’arrête donc et le recrache pour reprendre ma respiration.
    
    — Qui t’a dit d’arrêter ? Dit une voix rauque, encore empreinte de sommeil.
    
    — Pardon Papa, je pensais que tu dormais...
    
    — Termine ce que tu as commencé et applique-toi, ordonne-t-il.
    
    — Oui Papa.
    
    Je reprends son membre en bouche et fais de nouveau de mon mieux pour le prendre le plus loin possible. Je suis fière quand je parviens enfin à l’engloutir aux trois quarts. Ma salive dégouline sur ses bourses, qu’une de mes mains palpe.
    
    Mon père grogne d’impatience, sa grande main calleuse se pose sur ma tête qu’il recouvre presque entièrement. Il appuie alors, m’oblige à gober son membre puissant jusqu’à la garde. Il va trop loin, il ...
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