Ah les seins de Monique, meilleure amie de ma mère (8)
Datte: 19/08/2023,
Catégories:
Hétéro
Auteur: mortimer60, Source: Xstory
... poitrine ? Quand elle finit par me regarder en coin, moi qui me croyais encore timide, je répondis à son sourire et me rapprochai d’elle.
Elle ne parlait pas français, mon anglais était encore pauvre, mais nous nous comprîmes immédiatement : elle me draguait ouvertement ! Avec une sensualité folle, elle se mordait un ongle sans me regarder, l’autre main semblant caresser la barre d’appui. Puis, après m’avoir offert quelques minutes de spectacle, elle tourna les talons sans se préoccuper de moi. Je décidai de la suivre, à la fois intrigué et excité, et je remontai ainsi une partie du train : elle avait un compartiment dans un wagon-lit, dans lequel elle me fit entrer sans un mot.
Avec un grand sourire qui me fit fondre immédiatement, elle me glissa « welcome... » avant de s’approcher de moi avec des mouvements d’une souplesse et d’une beauté incroyables. Subjugué, j’osais tout juste la contempler, certainement pas faire un geste qui aurait pu briser cet instant magique ! Alors elle vint jusqu’à moi et posa doucement ses lèvres sur les miennes pour un délire de baiser qui me sembla infini : nos langues jouaient une sarabande bien réglée, déclenchant bien entendu une agitation caractéristique à l’intérieur de mon jean. Par trois fois, elle se décolla de moi, comme pour passer à autre chose, par trois fois elle revint m’embrasser furieusement, tandis que ses mains prenaient progressivement possession de mon corps avec une douceur indescriptible.
Je ne restai pas ...
... longtemps inactif, bien entendu, et mes mains parcoururent doucement ses épaules d’abord, ses hanches... et enfin les plus beaux seins que j’aie jamais touchés : à la fois doux et fermes, avec des tétons qui pointaient à travers la robe, et surtout une taille et une forme parfaite, qui me rendirent fou d’excitation. A grand peine, je réussis à ne pas arracher sa robe d’un coup, mais à la déboutonner patiemment, en accompagnant chaque centimètre de peau libérée de la langue et des lèvres.
Enfin arrivé à ses seins, je les léchai avec vénération, lentement, en alternant les caresses des lèvres, de la langue et des mains... j’étais au paradis !
Combien de temps dura cette séquence ? Impossible de le dire, mais longtemps, car ma complice appréciait visiblement ce traitement, et ne cherchait nullement à le ralentir. Je finis tout de même par reprendre mon déplacement tout au long de ce corps magnifique qui ondulait souplement sous mes caresses ; désireux de prendre mon temps, j’allais contourner son sexe qui visiblement attendait son dû, pour aller visiter de la langue la peau si soyeuse de l’intérieur des cuisses. Mais elle ne l’entendait pas de cette oreille ! Me prenant par les cheveux, elle rugit « there ! » et me guida vers sa chatte déjà trempée. Je plongeai alors avec délice vers la source de cette humidité aux odeurs poivrées. Et alors qu’elle était restée jusque-là plutôt discrète, elle émit un énorme soupir avec un « yesssss » caractéristique, puis des gémissements de plus ...