Expérimentations et incongrus (1)
Datte: 19/08/2023,
Catégories:
Voyeur / Exhib / Nudisme
Auteur: Maxousang, Source: Xstory
... entendre que ce n’était pas une visite de courtoisie. Je l’ai fait patienter et je me suis rhabillé en vitesse. T-shirt, bermuda sans caleçon, un coup d’essuie-tout pour retirer le lubrifiant de mes mains et j’ai ouvert la porte après avoir enfermé mon ami dans le salon. Le problème de l’indésirable était effectivement épineux, mais ne nous concernait nullement.
Je l’ai aiguillé comme j’ai pu en priant pour que l’odeur du gel ne soit pas trop importante pour l’interpeller puis il a fini par partir. En revenant dans le salon pour rassurer mon ami qui était prêt à se rhabiller, j’ai remarqué que je n’avais pas fermé ma braguette. On s’est regardé et il m’a dit : "y a plus qu’à espérer qu’il n’a rien vu ni senti".
Comme on était tous les deux mous, on en a profité pour étendre la pause. J’ai donc saisi l’occasion pour aller uriner, n’ayant pas à me battre avec mon érection. J’y ai passé un moment, préférant être certain d’avoir tout évacué avant de sortir de nouveau nu. En revenant dans le salon, j’ai trouvé Benoît devant la baie vitrée avec le volet rouvert jusqu’aux genoux et fumant tranquillement. Surprenant, mais cela prouvait que l’ambiance était bien posée. J’ai profité du regain de luminosité pour inspecter mon gland qui était, comme je le pensais, en proie à un début d’irritation. Il fallait que je prenne soin de conserver une bonne dose de lubrifiant. "Tu ne bandes plus" me fit-il remarquer en braquant son regard sur mon entrejambe. Effectivement, j’étais tout ...
... juste en demi-molle, mais il s’est avéré que lui aussi était dans le même état, bien que sa main parcourait tendrement sa verge épaisse en faisant bouger ses filaments de lubrifiants qui commençait à revenir.
Le temps qu’il finisse sa cigarette, je suis allé remonter le volet de la chambre de la même hauteur, afin de faire redescendre la température qui s’était envolée pendant nos branlettes, comme pouvaient en témoigner nos torses et fessiers moites de sueur. Le courant d’air s’engouffra dans l’appartement, caressant mes cuisses et remontant vivement le long de mes jambes pour fouetter mon sexe encore humidifié par les restes de lubrifiant. Cette sensation me stimula et ma queue remonta tout doucement, à son rythme. Je me suis étiré en pénétrant une nouvelle fois dans le salon, ma queue de nouveau gorgée pleinement exhibée à mon ami. L’air me chatouillait toujours les testicules et je le sentais tout particulièrement sur mes fesses et mon torse, là où la transpiration avait laissé son emprunte. "Ah, bah voilà !" me dit Benoît alors que je voyais sa verge gonfler petit à petit.
Lorsqu’il s’est penché pour évacuer les cendres à l’extérieur de l’appartement, j’ai pu la voir sauter, se cambrer, s’agiter en de larges cercles. C’était exactement le spectacle que j’espérais voir dans cette journée. Une queue luisante d’excitation bougeant seule au gré des torsions du corps. Il est revenu s’asseoir sans se toucher, me laissant admirer ce charmant spectacle plus longtemps.
Il ...