Expérimentations et incongrus (1)
Datte: 19/08/2023,
Catégories:
Voyeur / Exhib / Nudisme
Auteur: Maxousang, Source: Xstory
... par-là. Peut-être ne se sentait-il pas encore prêt à se dévêtir complètement, ou peut-être profitait-il de l’instant ? Peu importait. Nous étions là pour nous faire plaisir et la journée commençait à peine.
Il s’est installé sur le fauteuil à côté de moi et m’a tendu la clé tout en posant sur le bureau une bouteille de lubrifiant. On en avait parlé : son sexe produisait naturellement une bonne quantité de liquide préséminal, mais pas moi. Si on voulait tenir la journée, j’allais avoir besoin d’aide. J’utilisais habituellement de l’huile d’olive : ça tient longtemps, ça sent bon, mais c’est pénible à nettoyer. C’était l’occasion de découvrir le lub’. Je lâchais donc mon pénis qui tomba lourdement sur mon ventre afin de brancher l’appareil à l’arrière de ma tour et nous étions partis, lui la main sous son dernier bout de tissu et moi le chibre à l’air qui vivait sa vie sous les regards occasionnels de mon ami.
Si la jouissance pouvait venir très très vite lorsque je me branlais seul, j’étais à l’inverse très endurant accompagné, et je savais que lui aussi. On allait donc passer un excellent moment à dévorer des heures de corps sublimes s’emboîter dans tous les sens dans les limites de la souplesse humaine, et la giclée allait être prodigieuse tant de son côté que du mien.
On a commencé avec un classique, un film de Clara Morgane. Je n’avais jamais vu de porno aussi "vieux" (bien qu’il reste très récent) et encore moins avec des actrices aussi connues, alors pourquoi ...
... pas. Je ne me souviens pas du tout du titre et le retrouver aujourd’hui dans mes participations cachées prendrait trop de temps, mais le film s’ouvrait sur Clara dans un poste de police, en plein interrogatoire durant lequel elle présentait les amies avec qui elle avait effectué un cambriolage de haute volée. Elles avaient toutes leur champ d’expertise, tant dans la cabriole que dans l’intimité et les démonstrations étaient suffisamment équivoques pour que je les crois sur parole.
Celle-ci adorait se couvrir le corps de glaçons lorsqu’elle chevauchait un homme, celle-là ne jurait que par l’anal, la troisième était diplômée en gorge profonde et la dernière hypnotisait n’importe qui avec sa merveilleuse vulve aux grandes lèvres humides et, à ma grande surprise pour l’époque, entièrement épilée.
Le film s’enchaînait. Les filles infiltraient maintenant le manoir qu’elles avaient pris pour cible et se faisaient repérer par deux gardiens. Ils les ont interpellés sans grande conviction et ont très vite fini par dégainer leurs verges. Elles étaient tout aussi sublimes que les filles qui les suçaient. Larges, longues, veineuses, rasées de près et munies de glands à la symétrie parfaite qui invitent par leurs seules présences quiconque les regardait à jouer avec encore et encore, que ça soit avec les mains ou la langue. Assumer mon orientation aujourd’hui n’est plus un problème et ça ne l’était pas non plus ce jour-là, aussi ai-je scruté ces engins aux dimensions d’armes blanches ...