Ah les seins de Monique, meilleure amie de ma mère (6)
Datte: 19/08/2023,
Catégories:
Hétéro
Auteur: mortimer60, Source: Xstory
... dire qu’elle m’aimait, qu’elle n’avait jamais connu un moment aussi fort, que nous allions être bien ensemble... et moi je commençais à penser à Blandine qui allait arriver le lendemain !
L’après-midi se passa en douceur, entre piscine et promenades dans le jardin. En parcourant la pelouse, j’admirais l’allure de mon amie, son élégance naturelle et la beauté de son corps. Elle savait bien à quel point j’aimais la voir en robe, et pour me faire plaisir, elle en avait changé pour une noire, plus près du corps. Elle s’aperçut que je la contemplais et me sourit, au moment précis où, n’y tenant plus, je me glissais derrière elle en passant mes mains sur son corps. Elle me fit remarquer en riant que j’étais plus à l’aise dans cet exercice que la première fois ! Elle avait raison... je lui caressai sans gêne les fesses à travers sa robe, puis remontai naturellement vers ses seins, libres sous la robe et dont les pointes gonflèrent rapidement sous mes doigts. Elle se tourna alors pour une merveille de baiser profond, nos deux langues inventant une sarabande infernale, qui ne finissait pas.
Je réussis à l’allonger sur l’herbe pour recommencer une nouvelle fois à la lécher sans fin. Encore une fois, je parcourus de ma langue et de mes doigts son sexe trempé, non sans me rapprocher de son petit trou que je dévorai avec application, de plus en plus loin. Monique se rapprochait d’une nouvelle jouissance quand j’aperçus, stupéfait, un mouvement au loin. Je reconnus vite cette coquine ...
... de Blandine, qui pourtant ne devait arriver que le lendemain ! Elle me fit un signe de connivence, et observa, fascinée, sa mère se rapprocher de son plaisir. Elle semblait déjà presque aussi excitée que sa mère et ouvrit son jean pour accéder à sa chatte. Les yeux fixés sur nous, elle se caressa lentement puis de plus en plus fort, et semblait arriver à son but quand Monique la devança et jouit bruyamment en m’aspergeant, une nouvelle fois, de son jus chaud et en serrant ma tête entre ses cuisses pour ne pas me laisser m’échapper.
C’en fut trop pour Blandine, qui tentait désespérément de ne pas crier en se mordant la lèvre. Prise de tremblements incontrôlables, elle finit par laisser s’échapper un cri de jouissance et s’écroula sur l’herbe.
Monique, qui émergeait difficilement de son orgasme, tourna la tête sans comprendre immédiatement. Il lui fallut un petit moment pour comprendre, les yeux écarquillés, que sa fille était là, et venait de jouir en même temps qu’elle... Tout d’abord horriblement gênée, elle eut le réflexe de tenter de masquer sa nudité d’une serviette ; puis voyant que Blandine la regardait avec amour, elle lui sourit avant de la réprimander gentiment : tu ne m’avais pas prévenue de ta venue ma chérie ! Tu savais qu’Eric était là avec moi ? Ca n’est pas très discret de nous regarder comme ça...
Sa fille décida de lui avouer que nous avions décidé ensemble qu’elle « passerait par hasard » demain, mais qu’elle n’avait pas pu résister plus longtemps. ...