Séduite Par Le Patron
Datte: 18/08/2023,
Catégories:
Non Consentement / À contre-cœur
Auteur: byRainett, Source: Literotica
... a posé sa main sur le dossier de la chaise. Je pensais qu'elle se penchait pour me parler doucement, pour me réconforter ...
Là, j'ai commencé à expliquer que, vendredi soir, Antoine m'avait attirée à l'écart et, profitant de mon ivresse, il m'avait violée. J'ai commencé à sangloter. Lara a hoché la tête avec un visage compréhensif et m'a tendu une boîte de mouchoirs. Essuyant mes larmes, j'ai expliqué que je ne voulais pas appeler la police, pas faire de scandale, mais que je ne voulais plus travailler avec lui.
C'est alors qu'elle s'est redressée et m'a balancé un revers de main si fort que j'ai vu danser les étoiles!
Elle a attrapée une poignée de mes longs cheveux blonds, sur ma nuque. J'ai une hantise, depuis ma plus tendre enfance, avec mes cheveux, je suis comme les chats. Si on me tire les cheveux, sur la nuque, je ne peux plus rien faire.
À l'école, les autres filles se passaient le mot, et elles en profitaient abondamment. Elle a tiré sur mes longs cheveux blonds, pliant mon cou en arrière, et elle m'a craché sur le visage :
«Tu penses avoir le choix, ici, petite pute? J'ai juste ce qu'il faut pour dresser les salopes comme toi!» siffla la femme.
Elle était plus grande et plus forte que moi, et tellement plus forte. Comme si elle voulait me faire revivre ce que j'avais déjà vécu, sa main féminine crispée dans mes cheveux, sur ma nuque, m'épinglait sur le bureau. Je me figeais, incapable de me défendre, acceptant ce qu'elle me faisait. La bave de ...
... son crachat coulait sur mon visage.
Pour me dresser, elle a sorti un plug anal de son tiroir. Elle a craché dessus, et l'a enfoncé sans ménagement dans mon cul vierge. Des larmes ruisselaient de mes yeux alors que je la suppliais de me libérer.
Et ce n'était pas fini! Je ne suis pas du tout intéressée par les femmes, mais elle m'a complètement soumise à ses caprices. Après m'avoir longtemps tripotée, et retournée dans tous les sens, elle m'a obligée à m'agenouiller pour lui lécher la chatte. Elle avait la chatte rasée, elle suintait, ça me dégoûtait et je gardais ma bouche obstinément fermée, refusant de lui donner du plaisir.
Soutenant fixement son regard de dominante, je n'ai pas cédé. Pliant mon cou en arrière, elle a frotté sa chatte sur mon visage, ondulant des hanches, jusqu'à ce que je cède, ouvrant la bouche et sortant la langue. Je l'ai léchée jusqu'à ce qu'elle jouisse, m'inondant de ses jus.
Une fois apaisée, elle m'a donné la boîte de mouchoirs pour que j'essuie mon visage. Mon maquillage avait coulé, ses jus et sa bave souillaient ma bouche et coulaient sous mon menton. Honteuse, j'ai troussé ma jupe pour essuyer ma chatte. Pourquoi une telle humiliation et une telle cruauté me mettaient dans des états pareils? J'étais trempée d'exaltation ...
Pendant que j'essayais de retrouver ma dignité, elle décrochait son téléphone de bureau. Je n'étais pas attentive à ses gestes jusqu'à ce que je l'entende parler :
«Antoine, j'ai ta petite pute blanche ici, ...