Elle sans moi - Histoires de Sexe

Elle sans moi

Amants depuis de nombreuses années, nous ne vivons malheureusement pas ensemble et devons nous contenter de brèves et érotiques rencontres épisodiques. Mais il nous reste le partage des envies et des plaisirs par tous les moyens à notre disposition… Elle, élégante sexagénaire, mince et séduisante, fait tourner à l’occasion, quelques têtes et dresser quelques sexes qu’elle sait et adore satisfaire, dans les situations les plus diverses. Toujours disponible pour une aventure sans lendemain, dès lors qu’elle l’excite, elle répond par un sourire coquin aux sollicitations des hommes qui devinent son tempérament discret, mais très libertin.

Une bonne partie de son plaisir consiste alors à partager ces fredaines avec moi, par téléphone ou sur internet.

C’est ainsi qu’elle m’a confié avoir l’occasion de rencontrer un nouveau complice, un peu plus jeune qu’elle et qui lui a semblé bien disposé à son égard.

— Tu es déjà convenue d’un rendez-vous avec lui ? lui demandai-je, déjà excité par cette éventualité.
— On a échangé un peu lors d’une rencontre professionnelle en présence d’autres personnes, et j’ai cru comprendre que je ne le laissais pas indifférent !
— Humm, comment ça ?
— Eh bien, son regard, son sourire, quelques effleurements discrets, me l’ont fait penser…
— Et toi, qu’as-tu fait pour l’encourager ?
— Oh, rien de bien méchant : mes jambes fines croisées et décroisées, ma hanche qui l’a frôlé au passage, une remarque à double sens…tu vois, quoi !
— Et cela ...

... vous a déjà mis en émoi ?
— Je crois bien si j’en juge par la bosse qui s’est formée sous son pantalon et l’humidité qui a gagné ma chatte… hummm !
— Alors, que vas-tu faire maintenant ?
— Je l’ai appelé et nous allons nous rencontrer seuls dans quelques jours. Je te raconterai tout.

Aussi impatient qu’elle, j’ai attendu ce fameux jour pour l’accompagner en pensées, à défaut de la partager avec ce nouveau complice, comme nous aimons le faire en club.

Le jour dit, elle me prévint par SMS.

La main sur ma queue raidie par ces quelques annonces prometteuses, j’attendis la suite qui m’arriva au fil des minutes.

— Voilà, m’écrit-elle, je suis sur le parking et je le cherche des yeux. Je suis sortie de ma voiture, mais, comme il y a quelques véhicules garés avec des chauffeurs, je fais attention à ne pas trop les tenter !
— Je sais combien tu aimes aussi troubler, pour le moins, ces pauvres routiers. Gardes-en pour après, peut-être…
— Eh oui, peut-être après, ou pendant ! J’ai déjà le ventre qui s’énerve un peu.

Le temps passa avant un autre message :

— Il est là et nous allons discuter un peu, autour d’une table disposée sous les arbres, un peu cachée en retrait du parking.
— Vas-tu pouvoir te retenir encore longtemps ?
— J’en doute, mais je te raconte tout dès que je pourrai ! Allez, je te suce tendrement.

La suite me parvint plus tard sous forme d’un long message téléphonique.

Je reçus alors cette image du sperme répandu sur ses petits seins aux tétons ...