Maïtaté
Datte: 17/08/2023,
Catégories:
fh,
ff,
ffh,
2couples,
fbi,
hplusag,
fagée,
jeunes,
couleurs,
couplus,
extracon,
candaul,
grossexe,
grosseins,
reconcil,
Oral
pénétratio,
confession,
aventure,
Auteur: Vopicek, Source: Revebebe
... gros yeux à Gutuka.
— Mère, c’est un pastiche d’un de nos auteurs français, Jean de la Fontaine, de sa fable le corbeau et le renard. Méfiez-vous, la morale de l’histoire, c’est que tout flatteur vit aux dépens de celui ou celle qui l’écoute.
— Mais mon gendre, cela fait toujours plaisir d’entendre des compliments. Viens mon petit Gutuka.
Elle le prend dans ses bras et l’embrasse sur les deux joues en lui soufflant :
— Merci, je suis touchée. C’est alors qu’elle remarque que ce petit cochon bande dur. Tu viendras me trouver quand on aura pris le repas du soir et que les enfants seront couchés, si tu as le temps avec ton école.
— Oui, volontiers, répond-il sans y croire, Pierre nous a bien expliqué comment faire avec les matrices, en fait ce n’est pas trop compliqué, c’est plutôt une manière de calculer qu’il faut assimiler.
— Tu sais, moi, dans les calculs, je ne connais pas grand-chose, mais pour la matrice, j’ai un peu plus d’expérience.
Après avoir mis les enfants au lit, rangé la cuisine et le salon, Sornia, Aïcha et Pierre se retirent dans la chambre nuptiale pour continuer à discuter sans déranger disent-ils, mais on verra au chapitre suivant, que ce n’est pas le cas.
Gutuka à ce moment se décide et frappe à la porte de Fatma, la mère d’Aïcha.
— Entre, mon chou, éructe l’aïeul du fond de son lit.
Elle s’est déjà changée pour la nuit en mettant une nuisette peu en rapport avec son âge. À cette vue, le sexe de Gutuka passe de passif et pendant ...
... dans son caleçon à actif et conquérant tapant contre son ventre, tel un ressort qui se détend.
— Viens donc et assieds-toi sur le lit pour m’expliquer l’histoire du plumage et du ramage.
Lui, le visage couperosé, ce qui est un comble pour un noir, à la limite de la congestion lui déclare :
— Tu es trop belle et, qu’est-ce que tu sens bon !
— C’est vrai ces mensonges ? minaude-t-elle en tendant ses arguments.
N’y tenant plus, il ne raconte rien au sujet du plumage et du ramage, mais plonge la tête vers l’objet de son désir et embrasse les seins.
— Tu n’hésites pas, attends un peu que je dégage ce que tu convoites. Comment tu les trouves, ils sont un peu vieux non ? Pas comme quand j’avais vingt ans.
— C’est comme je les aime, dit-il en posant sa grosse bouche sur le téton qui guigne hors de la nuisette.
— Viens donc à côté de moi à la place de rester à genou au pied du lit, dit-elle en soulevant le drap qui la couvre.
— Mais pas tout habillé ?
— Évidemment… Que je puisse aussi apprécier !
Ni une, ni deux, il se retrouve en caleçon prêt à s’introduire dans le lit.
— C’est quoi ce qui reste et qui cache ce que je veux, enlève tout !
Un peu hésitant, il se débarrasse de l’encombrant slip et apparaît dans toute sa splendeur.
— Viens maintenant à côté de moi que je te sente tout près.
Lui, n’ose pas trop faire quoique ce soit, mais elle qui a franchi le pas, n’hésite pas une seconde et tout de suite prend en main ce long sexe.
— Hum, c’est pour ...