Mouillette, la rencontre (1) - Histoires de Sexe

Mouillette, la rencontre (1)

... chienne.

Je me levai doucement du lit et me mis debout. Il fit le tour de ma personne en regardant que je sois parfaitement habillée, coiffée.

— J’aime quand tu te fais une tresse.

Il toucha la tresse, tira doucement sur mes cheveux ce qui déclencha une vague de chaleur dans mon ventre et un frisson sur la nuque et sentit la tresse.

— Mmhh, ça sent la cannelle... Très bon choix, j’aime quand c’est épicé.

Il me demanda :

— Prête à jouer ? Regarde-moi !

Je levai la tête vers lui et mes yeux marron se fixèrent sur ses beaux yeux bleus. Je déglutis et murmurai la gorge sèche :

— Oui, Maître.

Il reprit plus bas :

— Je t’ai trouvé un accessoire intéressant pour ce soir...

Il sortit de derrière lui une laisse avec un collier clouté.

— Ce sera parfait pour toi.

Je fis des yeux étonnés et je rougis instantanément. Il ajouta :

— N’est-ce pas, Mouillette, ma chère chienne ?

Je pris une inspiration et murmurai de ma voix douce :

— Oui, Maître. Je suis ta chienne.

Il eut un rire satisfait, puis il me mit le collier étincelant puis il me dit :

— On y va, maintenant....

Il prit la laisse en main et il me guida jusqu’à l’extérieur de la chambre. Nous traversâmes alors le couloir, descendîmes les escaliers puis enfin nous quittâmes l’hôtel. Nous n’avions croisé personne dans l’hôtel, à l’extérieur, tout était également calme. Nous commençâmes à marcher en direction de sa voiture.

Il me fit asseoir côté passager et lui prit le ...

... volant. Il me dirigea par des rues que je ne connaissais pas. Tout le long de la route en voiture, il ne parla pas et moi non plus. Par contre je voyais son regard glisser sur mes jambes... Une de ses mains avait aussi glissé sur mon genou...

J’étais dans mes pensées, j’avais peur de la suite, angoissée. Pour autant je lui faisais confiance, mais j’avais cette appréhension naturelle de l’inconnu. J’ignorais tout de la destination où il me menait.

Il se gara et nous commençâmes à marcher sur une longue avenue fréquentée. Lui tenant la laisse et moi le suivant à son rythme. Sur cette avenue, des gens nous regardaient, nous montraient du doigt. Je ne me sentais pas très bien, même si à la base tout allait bien, j’avais un peu honte, je voulais me cacher. Mais je savais au fond que c’était pour faire plaisir à mon Maître, que ça lui plaisait, alors je faisais l’effort. Après avoir fait un petit tour sur cette avenue, nous retournâmes à la voiture.

On s’assit dans la voiture et il se tourna vers moi et me regarda droit dans les yeux :

— Ma chère Mouillette, je ne peux qu’être fier de toi. Tu as fait comme si de rien n’était alors que tu bouillais intérieurement. Je sais que cela t’excitait aussi. Tu auras une récompense pour t’être bien comportée.

Nous prîmes à nouveau la route... Il me mena à l’orée d’une forêt. Sortis de la voiture, il prit un sac sur la banquette arrière de la voiture. Il en sortit deux pinces et pinça chacun de mes tétons sous ma robe. Immédiatement, ...