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L'été de mes 18 ans 25
Datte: 15/08/2023, Catégories: Lesbienne Auteur: byJeunefilleperverse, Source: Literotica
... totalement l'anus d'Annie, laquelle, une fois la douleur passée, semblait apprécier beaucoup cette pénétration. Je sentais son bassin tressauter au rythme des coups de boutoir que lui prodiguait Solange. J'avais fort à faire pour ne pas perdre le contact avec son petit berlingot que je me mis à sucer de plus en plus fort. Annie râlait maintenant sans discontinuer et je sentais la vague arriver qui la submergerait entièrement. Elle poussa tout d'un coup un cri terrible et je sentis un jet de liquide remplir ma bouche et mouiller mon visage. J'avalai avec délice une partie de son jus. Sentant qu'Annie était épuisée, Solange s'écarta d'elle et me fis signe de me dégager. Je m'allongeai sur le dos les jambes bien ouvertes et Solange positionna son gode à l'entrée de mon sexe. « Oui, murmuré-je, prends-moi! ». Elle ne se fit pas prier pour investir ma chatte et me besogner jusqu'à l'orgasme. « Eh bien, ma cochonne! Tu en as sacrément profité! », dis-je à Clotilde. Je voyais qu'elle était tout émoustillée à raconter ses souvenirs et j'étais moi-même bien excitée de les avoir entendus. Ma main dénoua la ceinture de sa robe de chambre. Dessous elle ne portait qu'une petite nuisette bien courte. Je la renversai sur mon lit et entrepris de lécher sa fentine déjà complètement trempée. Elle se mit à gémir de plus en plus fort. Tout à coup, la porte de ma chambre s'ouvrit. C'était Philippe qui resta ébahi en voyant sa femme dans cette position compromettante. Je lui fis signe d'entrer ...
... et lui murmurai : « Regarde comme elle a envie! Je te l'ai préparée. ». Je voyais la bosse énorme qui déformait son boxer. Je le fis glisser et découvrit son sexe complètement raidi. Je me mis à le sucer quelques instants avant de dire à Clotilde : « Regarde comme il bande! Viens le gouter! ». Celle-ci ne se fit pas prier. Craignant cependant que Philippe ne décharge trop vite, je l'éloignai du sexe turgescent et la fis mettre à quatre pattes. Je saisis Philippe par la queue et le positionnai derrière Clotilde. Après quelques va-et-vient, je plaçais le gland de Philippe à l'entrée de la vulve ruisselante de Clotilde. Il s'engouffra d'un coup et Clotilde poussa un gémissement. Il se mit à la besogner lentement. Pendant ce temps, je ne restais pas inactive : j'embrassai Philippe goulument tout en caressant les seins de Clotilde. Puis je titillais les seins de Philippe avec la langue tout en caressant ses testicules pleins à craquer. Il se mit à accélérer ses coups de boutoir tandis que Clotilde poussait des cris de plus en plus suraigus. Philippe se mit à râler sourdement et je sentis qu'il déchargeait dans le sexe de sa femme. Celle-ci n'avait pas encore joui, bien qu'elle ait manifestement apprécié la pénétration que son mari lui avait fait subir. Aussi, tandis que Philippe récupérait un peu, je pris sa place derrière Clotilde et me mis à caresser sa vallée, allant de son bouton dressé à sa rosette frémissante. Philippe me regarda avec intérêt lorsque je me mis à pénétrer ...