Les belles années avec Maman (2)
Datte: 14/08/2023,
Catégories:
Inceste / Tabou
Auteur: jejebay23, Source: Xstory
... dis donc, et prêt pour un deuxième round à ce que je voie mon chéri. J’aime ça.
Je lâche très vite le gant de toilette pour l’enlacer par derrière en plaquant un peu plus ma bite entre ses fesses et en plongeant une main vers son sexe. Puis je la penche doucement et m’agenouille derrière elle pour me trouver à hauteur de sa rosette que je commence à travailler au corps à grand coup de langue.
— Bouge pas maman, je vais aussi m’occuper de ton petit œillet, comme ça, tu en auras pris dans tous les trous aujourd’hui.
— Comment tu parles à ta mère cochon ? Ta bite est très grosse, va dans ma table de nuit, au fond du tiroir, il y a un gode et un lubrifiant, va falloir me travailler d’abord.
Gagné, je vais en prime enculer ma mère, quelle journée et quel pied, ça va être serré, que du bonheur. Je ne savais ma mère si cochonne. Je sors rapidement de la salle de bain en essayant de ne pas me casser la figure sur le carrelage, déboule dans la chambre parentale ruisselant d’eau, on nettoiera plus tard, ouvre le tiroir et tout au fond découvre 2 godes de taille modeste et un flacon de lubrifiant. Je retourne dans la salle de bain et quelle ne fut ma surprise de découvrir ma mère toujours penchée en avant, les jambes écartées, une main sur le mur à se maintenir, et la seconde en train de se branler. Décidément.
— Commence par me goder un peu pour m’assouplir le rond. Ton père n’est pas si gros, ça ne va pas être facile.
— Je ne veux pas te faire mal maman. Si tu ...
... veux, y a pas de soucis.
— Je te veux dans mon cul mon salaud, tu m’as allumée en me léchant la rondelle, mais prépare-moi bien et vas-y doucement.
— OK maman chérie.
Je me remets en position à genoux derrière ma mère, et repends le travail à grands coups de langue, m’appliquer à bien lui saliver la rondelle puis à la pénétrer du bout de ma langue, ma queue me fait mal à force de bander dur à l’idée de l’enculer. Je prends un gode, le tartine de gel ainsi que son trou et commence doucement à la pénétrer.
— Han. Doucement mon chéri, ça fait longtemps, prends ton temps.
Je pénètre doucement son fondement en lui doigtant le minou, histoire d’apaiser la douleur. Douleur qui s’estompe assez vite sous mon traitement à entendre ma mère gémir. Au bout de 5 minutes de godage délicat, maman me regarde et me dit :
— Vas-y c’est bon, tartine bien ta bite de gel et rentre doucement mon chéri.
— Surtout si tu as mal, tu me le dis maman.
— Vas-y en douceur.
Je m’enduis la bite de gel, en remets une tartine sur son cul et approche mon gland de sa rosette palpitante, elle m’aide en se cambrant davantage et en écartant ses fesses des deux mains, cette fois la tête posée contre le mur de la douche. Je pousse un peu, son anneau cède et mon gland est comme aspiré, puis se retrouve enserré dans cet étroit fourreau, c’est tellement agréable.
— Hou. Doucement, avance doucement, ça va, mais tu es très gros mon chéri.
Je lui laisse le temps de s’habituer à mon chibre et ...