Dans la moiteur d'un soir d'été.
Datte: 14/08/2023,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Walter, Source: Hds
... un rythme de plus en plus rapide. Il approche ses doigts des petites lèvres ouvertes; et lentement, il introduit la première phalange de son majeur, et déjà un soupir de soulagement l’accueille avec impatience, elle ouvre davantage ses cuisses, s’offrant totalement, s’ouvrant à lui pour qu’il prenne toute la place…Elle le veut entre ses jambes, au plus près de son sexe, elle se cambre encore davantage et dans un frisson plus fort que les précédents, soupire un « c’est divin…ne t’arrête pas… »
Son corps est tendu, tout ses muscles se crispent et sa peau n’est plus que frissons; ses mains agrippent où elles le peuvent et elle se cambre pour mieux recevoir les caresses…Elle attend davantage encore de sa langue et de ses doigts agiles, elle perd le contrôle doucement et les spasmes la secouent de temps à autre, annonciateurs d’une ultime explosion de plaisir, sans savoir exactement quand il arrivera…Le doigt entre de toute sa longueur, puis un deuxième; elle soupire pour les accueillir tout les deux au fond de son sexe brûlant, un lent va et vient de sa main rythmé par les ondulations de son bassin fait monter le plaisir d’un cran, sa langue continue de tourner autour de son clitoris tendu, émergeant d’entre les lèvres ouvertes.
Le mouvement de son bassin s’accélère, secoué de contractions hors de contrôle. Lui, avance et recule ses doigts dans un rythme régulier, glissant profondément en elle, puis ressortant en douceur pour revenir en elle, jusqu’à ce que la paume de sa ...
... main s’aplatisse sur la totalité de son sexe, se plaquant sur ses lèvres gonflées. Quelques coups de langues vagabonds, délaissant l’espace d’une seconde ou deux ce petit bouton excité pour aller se poser un peu plus haut, puis plus bas et revenir aspirer goulument le sommet de son sexe.
En un dernier soupir, une ultime tension de tout son corps, les cuisses totalement écartées et son sexe offert, elle part…il n’y a plus de respiration, ni de mouvement…juste un instant suspendu dans le temps où plus rien n’existe, où elle disparait de ce lit, de cette maison, de ce corps…pour n’être qu’une sensation, qu’une émotion…comme une vague qui l’aurait emportée d’un coup, la faisant virevolter dans l’espace, sans qu’elle puisse respirer, sans savoir combien de temps cela durerait…
À l’instant où elle est partie; il a laissé ses doigts en elle, complètement; puis sa bouche s’est posée sur le haut de son sexe, attrapant ce petit clitoris entre ses lèvres…sans bouger, laissant la vague de plaisir et son intensité faire le reste; jusqu’à ce que tout son corps se relâche; que ses cuisses se desserrent, que son bassin retombe et que ses mains cessent d’agripper avec force le drap…
Elle a ouvert les yeux et cherché son regard, elle a un léger sourire au lèvres…la vague est passée et a laissé sur son visage une expression de plénitude, de bien être. Il remonte doucement d’entre ses cuisses pour l’embrasser, et s’allonger près d’elle tout en lui caressant le visage, ses cheveux et son ...