1. Le coiffeur de ces dames au rallye des gazelles. (2)


    Datte: 13/08/2023, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: mlkjhg39, Source: Xstory

    Le coiffeur de ces dames au rallye des gazelles. 2
    
    — Alors comme ça, je ne tiens pas la distance ! Vous êtes pitoyables les filles. Pas une seule n’a réussi à me vider les couilles ! Il va falloir passer à la vitesse supérieure si je ne veux pas y passer la journée ! Vous allez m’obéir, je veux une pile de quatre culs l’un sur l’autre encadrée par deux à droite et deux à gauche, et que ça saute !!!
    
    Suite :
    
    Les filles sont interloquées, mais au bout d’un instant obéissent à sa demande. L’empilement commence, la première à genoux, les fesses sur les chevilles et la tête au sol et les suivantes par dessus comme elle peuvent.
    
    Anaïs s’approche, se met à genoux. Comme la mouche du coche, je viens à son aide et fais baisser sa trique pour la diriger vers la première chatte offerte. Il embroche la première fille, met la main gauche sur la vulve de la fille au-dessus, la main droite sur celle de la troisième et sa bouche sur la quatrième. Dans le silence religieux des voyeuses, quatre râles montent crescendo. Au bout d’un moment, il se redresse pour passer à la fille suivante, je refais la mouche pour pointer sa dague vers le fourreau suivant où elle disparaît aussitôt. Ses deux mains maintenant s’occupent des filles sur les cotés, passant prestement d’une chatte à l’autre, les doigts poisseux de cyprine.
    
    Pendant encore une heure, il explore de nouveau chaque « boîte à Popaul », que ce soit de sa bouche, de ses doigts ou de sa bite. Il reprend de nouveau la parole ...
    ... :
    
    — Bon Dieu ! Vous faites quoi les filles ? J’attends toujours que l’une de vous arrive à me faire jouir, mais jusqu’à maintenant, je reste sur ma faim ! Vous m’avez fatigué, je vais m’étendre sur le sol et vous laisser continuer.
    
    Pas une seule ne moufte. Anaïs s’étend sur le dos et le défilement recommence, une fille accroupie se pilonne sur sa verge, une autre a mis la fourche de ses cuisses sur la tête de mon homme pour se faire brouter le minou et deux autres se servent de ses mains comme gode.
    
    Une nouvelle heure passe, les filles ne comprennent pas pourquoi il est toujours aussi raide, aussi dur, et surtout pourquoi il ne jouit pas. Il repousse enfin toutes les filles et s’exclame :
    
    — Alors ?! Vous êtes gavées ? J’ai été à la hauteur ? Vous en voulez encore ?
    
    La plupart des filles n’osent même plus le regarder. Christine reconnait enfin en fixant la trique, toujours aussi fière :
    
    — Mais t’es fait de bois, ma parole ? Larissa... Il ne jouit jamais ?
    
    J’attendais avec impatience cette question et lui jette :
    
    — Vous ne savez pas vous y prendre les filles... Regardez-moi faire !
    
    La verge d’Anaïs a un peu enflé à force d’être tant sollicitée. Je chevauche son corps et nous copulons avec amour. En à peine dix minutes, il arrive enfin à la délivrance. Je me retire et prends sa lance en main. Il a tant attendu que la pression dans ses bourses est monstrueuse. Son volcan éteint entre enfin en éruption et des projections dantesques de lave blanche ...
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