1. Les élèves et le prof d'anatomie (1)


    Datte: 13/08/2023, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: mlkjhg39, Source: Xstory

    ... peine prendre la parole dans les cours puisse tenir de tels propos.
    
    Je regagne mon camping-car, essayant de cacher mon érection aux autres campeurs. Que vont-ils penser de moi quand ils vont voir ces trois chipies sortir à ma suite du sauna ? Tant pis pour les deux jours de location restants. Je ne peux pas me permettre de rester là et d’avoir une aventure (ou peut-être même plusieurs ?), avec ces petites dévergondées. La plupart des autres naturistes sont des habitués et certains vivent dans la même ville que moi. Je ne veux pas devenir un sujet de conversation grivoise et que ça remonte au rectorat...
    
    Je règle ce que je dois, me rhabille, et pars la queue entre les jambes, c’est le cas de le dire.
    
    Mais que va-t-il se passer à la fin des vacances ?
    
    Je vais essayer de les ignorer. S’il n’y avait eu qu’une de mes élèves, je ne me ferais pas de soucis, parole contre parole... Mais là, je suis en position d’infériorité.
    
    Qu’elle sera ma réaction si l’une d’elles me fait du « rentre-dedans » ?
    
    L’ELEVE :
    
    Comme si j’avais pressenti sa fuite, je l’ai suivi et je me suis glissée à son insu dans son camping-car. Aucune de mes copines ne le sait. J’ai l’estomac noué, mais je ne sais plus ce que je fais. C’est ma première folie, mais je suis si excitée. La vue de l’érection du prof m’a laissé l’entrejambe humide et je veux vraiment savoir si les rumeurs qui se racontent sur lui ...
    ... sont vraies. Si c’est un As du sexe... il ne m’a pas vue et roule en direction d’un petit village que je connais. Sûrement, il va dans sa maison de campagne. Génial ! J’espère que c’est pour y être seul et que là, tout se passera à merveille pour moi.
    
    LE PROF :
    
    Je n’arrête pas de revivre dans ma tête la scène surréaliste du sauna. Maintenant que je suis seul, je commence à réaliser que j’avais devant moi trois sirènes qui ne demandaient qu’à se faire baiser.
    
    Du moins, il n’aurait pas fallu beaucoup de persuasion de ma part pour qu’elles passent à MA broche...
    
    Je revois ces poitrines fières et fermes que l’âge n’a pas encore flétries, ces ventres plats où on devine le haut de la fente de sexes complètement rasés.
    
    J’en oublie presque la route, faisant une embardée, faut que je fasse gaffe de ne pas me foutre dans le décor. La position assise m’est désagréable, car une bête fauve essaie depuis un moment de s’en échapper. Elle grogne, se retourne, repousse avec difficulté slip et pantalon pour prendre son aise. Vivement que j’arrive chez moi.
    
    Comme à mon habitude, je me parle à haute voix :
    
    — Putain de merde ! Pas de chance... Si ce n’avait pas été mes élèves, je les aurais baisées les unes après les autres ! Elles auraient appris ce que c’est de se faire troncher par une big-cock ! Pour une fois que j’aurais pu avoir entrée, plat de résistance et dessert...
    
    A suivre... 
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