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Chemins libertins (9)
Datte: 12/08/2023, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Jouissance62, Source: Xstory
Chapitre IX Après ma folle soirée avec Déborah, j’étais quelque peu fatigué. J’avais joui tout mon soûl de son superbe corps. Pas une fois je ne l’avais prise par-devant. Elle me tendait encore et toujours sa croupe pour que ma queue s’y enfonce profondément. Je n’avais jamais vu une nana jouir pareillement du cul. Il semblait que jamais je n’allais arriver à la rassasier. J’étais dans ma voiture, arrêté aux feux et c’est un coup de Klaxon qui me sortit de ma rêverie. Je n’étais plus très loin de chez moi et je me réjouissais de revoir Annick à qui j’allais raconter tout ce que j’avais fait ce soir. Je savais que ça allait l’exciter. On avait passé un accord tacite mentionnant qu’on pouvait s’envoyer en l’air chacun de son côté, mais qu’il était impératif de raconter son expérience à l’autre. Jusqu’à présent, je dois avouer que c’est moi qui racontais plus souvent qu’elle. Je garai la voiture dans le garage et pris l’ascenseur jusqu’au quatrième étage où nous habitions. Il était passé minuit et je pensais trouver Annick déjà endormie, mais je fus surpris d’entendre de la musique à travers la porte d’entrée. J’enlevai ma veste et mes chaussures dans le vestibule et me dirigeai vers le salon. La lumière était tamisée et je vis deux corps tête-bêche couchés sur le tapis devant la cheminée où crépitait un feu. Il faisait une chaleur étouffante et une odeur de sexe flottait dans l’atmosphère surchauffée. Je m’approchai sans bruit, admirant les deux femmes qui se ...
... donnaient du plaisir. Annick qui me faisait face me vit et me fit un petit clin d’œil tout en continuant de dévorer la chatte de son amie. Je me déshabillai rapidement et le sexe déjà bandé, m’installai dans le fauteuil. Je caressai doucement ma verge tout en admirant le tableau qui m’était offert. Annick se redressa et me regardant droit dans les yeux d’une manière très sensuelle, elle s’avança à genoux jusqu’à moi. Mes jambes étaient écartées, mes couilles totalement exposées. La tête d’Annick était maintenant entre mes cuisses. Sa langue pointa sur la base de mes testicules et lentement remonta le long de mon sexe jusqu’à ce que ses lèvres touchent le bout rond de mon gland. Elle fit alors disparaître l’entier de ma hampe au fond de sa bouche, m’arrachant un gémissement de plaisir. En ouvrant les yeux, je vis Isabelle allongée, les jambes écartées, se masturbant à l’aide de ses doigts. Sa chatte était totalement ouverte et luisante de mouille. Son corps était luisant de sueur. Elle passait et repassait ses doigts à l’orée de son trou avant de remonter jusqu’à la petite pointe turgescente qui pointait hors de son capuchon. Ses petites lèvres ressortaient d’entre les grandes. On avait envie de les mordiller et de les allonger encore plus. La coquine dut lire dans mes pensées, puisque les prenant entre le pouce et l’index, elle les tira vers l’avant puis sur le côté, m’exposant encore plus l’entrée de son vagin. Annick pendant ce temps continuait habilement sa ...