-
Mon cousin, mon initiateur (2)
Datte: 12/08/2023, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: Kama666, Source: Xstory
L’histoire de mon initiation, c’était il y a 50 ans ! Il y a 50 ans, le monde était différent, c’était la loi sur l’IVG, Woodstock, la libération sexuelle, la blennorragie et non le sida, c’était aussi la majorité à 21 ans et l’autorité parentale. Mon initiation commença le soir de mes 18 ans. Dans ma chambre, mon cousin Dom de 28 ans, me fit voir des revues de femmes à poil et me mit dans la main son gros rat sans patte, comme chantait Colette Renard. Ce fut une révélation. A cette époque, je n’étais préoccupé que par les études, les histoires de sexe étaient tabou à la maison. Mes parents très pudibonds ne pouvaient imaginer ce qui se passait de l’autre côté du mur de leur chambre communiquante à la mienne. La porte condamnée assurait la tranquillité mais imposait le silence. Depuis cette nuit avec mon cousin nous nous revoyions régulièrement le week-end. Dans ma chambre, notre relation évoluait lentement. Dom prenait son temps sur le chemin de ma perversion, j’étais timide, je ne disais rien et ne refusais rien. Chaque fois qu’il venait à la maison, j’attendais avec impatience le moment où il m’invitait dans son lit, jumeau au mien. Sans parler, en souriant, il ouvrait la couverture, il était nu, son sexe, une grosse saucisse sans poil, n’était pas vraiment en érection. Je me glissais alors nu sous ses couvertures. J’aimais comme il me plaquait contre sons corps en me prenant par une fesse. Je mettais ma tête au creux de son épaule, il me caressait avec ...
... beaucoup de douceur les épaules, le dos, les fesses, me couvrait de bisous un peu partout, parfois sur les lèvres. Je me laissais faire. Il se frottait et s’excitait contre mon ventre ou me titiller le petit trou. Autant j’aimais sentir son gros sexe contre moi que sa main sur mon derrière me gênait. A chacun de ses passages il allait plus loin dans mon initiation. Sous son incitation je devenais un petit vicieux, j’en étais arrivé à me branler presque à chaque fois que j’allais au toilette. Je perçais le fond des poches de mes pantalons pour me toucher en toutes circonstances. Dans mon lit je m’astiquais la colonne et jouissais dans un mouchoir. Par négligence parfois je l’oubliais et ma mère trouvait le matin le tissu souillé au pied du lit ce qui me valait de sévères remontrances. Elle me parlait de mon « jus d’homme », que c’était mauvais pour la santé... Les balivernes que nous connaissons tous. Non ! Maman ça ne rend pas sourd ! Après quelques mois dans le secret de ma chambre, son bisou se transforma en un baiser d’amour comme il disait. La pointe de sa langue se glissa entre mes lèvres, lécha mes dents, ma bouche à peine entrouverte elle força le passage et envahit toute la place. C’est la première fois que je goûtai une autre salive que la mienne. J’étais surpris et gardais mes lèvres immobiles et grande ouvertes, sa langue s’activait en tous sens, sortait et entrait. Ainsi comme pour le reste nous avons pris l’habitude ensuite de nous embrasser à pleine bouche, ...