1. Anissa, soeur de mon meilleur ami (3)


    Datte: 12/08/2023, Catégories: Hétéro Auteur: thomas45, Source: Xstory

    ... J’entrepris alors des mouvements doux d’abord, puis plus sauvages à cet endroit, en prenant soin de m’en éloigner pour revenir plus violemment.
    
    Lorsque sa respiration devint plus régulière, je la déplaçais pour substituer ma langue à mes mains, libérant ses dernières pour parcourir son corps et, enfin, atteindre ses seins, chacune de mes mains en empoignant un.
    
    La douce odeur de sa mouille remplaçait celle de son parfum comme je l’étalais de ma langue pour la transporter jusqu’à sa chatte. A l’assaut de son vagin, mes coups de langue gagnèrent du terrain, en écartant les parois cachant son orifice. Lorsqu’ils manquaient de munition, ils partaient se refournir, plus haut, à la source d’une mouille abondante.
    
    Au bout de 10 minutes, elle me supplia de la prendre, ce que je fis sans prier. Me relevant, je positionnai son corps en levrette et, après avoir enfilé mon armure de latex, je la pénétrai, aidé en cela de l’effet naturellement lubrifiant de la mouille.
    
    C’est dans un baiser fougueux que j’entamai mes premiers mouvements de va-et-vient. Déjà bien excité, je ne la ménageai pas et commençai directement par des mouvements longs et rapides, provoquant des décharges de plaisir chez moi et des cris à mon nom chez elle.
    
    Plus rapidement que je ne l’espérais, sa chatte se contracta, elle jouit. J’accélérais alors mes mouvements et vins en même temps qu’elle.
    
    Avant même que de sortir, je jetai un coup d’œil à l’horloge. Merde, il était déjà midi. Mehdi m’attendait ...
    ... à treize heures chez lui pour l’aider à organiser la fête que j’étais parvenu à le convaincre d’organiser pour pécho Estefania... (et me laisser l’occasion de baiser sa sœur). Mais bien sûr, je ne pouvais avouer tout cela à Coralie.
    
    — Bébé, tu vas m’en vouloir...
    
    — Quoi ? Tu veux déjà partir ? J’ai vraiment l’impression d’être ta p...
    
    Je l’embrassais en lui faisant le plus beau de mes sourires.
    
    — Bébé, je t’aime plus que tout, je peux pas te laisser dire quelque chose d’aussi vulgaire à propos de la femme de ma vie.
    
    J’ignorais comment, mais ce genre de phrase débile marchait toujours avec elle. Son visage se fondit en un sourire niais que j’ajoutais :
    
    — Mehdi a besoin de moi. Je peux pas le laisser tomber. Il a toujours été là quand j’ai eu besoin de lui.
    
    — Mais non mon chéri, désolé d’avoir réagi comme ça, c’était excessif. Va rejoindre ton pote, il a de la chose de t’avoir ».
    
    Je lui délivrai un sourire, en l’embrassant sur le front et m’en allais après avoir enfilé mon short et mon tee-shirt, puis partis reprendre ma voiture.
    
    Je repassais chez moi, me douchai en vitesse et enfilai des vêtements absolument non choisis au hasard : un short avec un débardeur qui mettaient en valeur ma musculature : je savais qu’Anissa serait là quand j’arriverai, et je voulais qu’elle soit bien chaude pour ce soir...
    
    Arrivé chez Mehdi, je constatai que je ne m’étais pas trompé : ce fut Anissa qui m’accueillit. Elle m’attendait et cherchait manifestement aussi à ...