1. Anne, son medecin et les confrères (1)


    Datte: 12/08/2023, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Alcody, Source: Xstory

    ... mains sur la nuque et dandine-toi, à fond, chaloupe ! Tangue !
    
    — Balance tes hanches et tes seins, OUI !
    
    — Oui ma belle ! Comme ça ! Ferme les yeux et viens !
    
    Maintenant, tu t’appliques sans réfléchir du tout !
    
    — Retourne-toi ! Vite.
    
    — Penche-toi en avant, plusieurs fois !! Sans plier les jambes, toujours mains sur la tête. Montre-moi tes fesses accueillantes et reste 3 minutes.
    
    C’est beau. Tiens bon ».
    
    — Recommence ! Plie-toi ! Plus bas, encore !! Penche-toi Bon Dieu !! Quel magnifique cul !!
    
    — Maintenant, relève-toi doucement, viens devant moi.
    
    Accroupis-toi !! Bien ouverte. Non !!! Viens ici, plus près au pied de ma chaise, ferme les yeux » (Je suis à un mètre)
    
    — Quelle magnifique posture ! Tes mains sur la tête, reins cambrés, fermes, tendus et agressifs.
    
    — Ta chatte béante ruisselle c’est splendide ! Je t’adore, tu mouilles de t’exhiber hein petite garce.
    
    — Oui ! Tu cèdes bien, à la seconde. C’est jouissif !
    
    Continue ma belle ! Tu m’enchantes »
    
    (Je sais qu’il aime ce spectacle, je lui offre)
    
    — A présent assis-toi sur tes talons, ouvre très très grand les cuisses, à la limite de l’éclatement, penche-toi en arrière, mains sur les talons, ferme les yeux, offre-toi comme pour bronzer au soleil. Oui !! Coquine ! C’est bien ça ! Fabuleuse chienne !
    
    Donne-toi. Libère tout ! »
    
    Entre temps, il m’a orientée vers la porte entrebâillée, pleine face ! Chatte ample, mes lèvres sont détendues, on pourrait y entrer 5 doigts ! Je ...
    ... viens de piger le manège ! Salopard !
    
    — Je veux voir ton sexe fleurir, briller, se dégager naturellement, ostensiblement, avec complaisance.
    
    — Allez ! Montre-nous !
    
    Il vient de dire NOUS ?????
    
    — Vous dites Nous ?
    
    — Oui j’ai dit Nous ! Continue ! Bon sang ! Donne-toi ! Vends-toi ! Fieffée salope ! Tu es à moi ! OBEIS-moi !!!
    
    — Allonge-toi sur le dos sur le petit matelas de sport, face à la porte, écarte grand les cuisses ! Caresse-toi !!!
    
    Fort ! Vite ! A fond ! Ne pense plus à rien !! Allez ! Fais-moi honneur !! Combien de temps tu vas mettre pour jouir ? Montre-nous ! Plus !! Encore !! Petite traînée de salope de bourgeoise ! Allez ! lâche-toi»
    
    Je réponds à ses ordres au-delà de son attente, je me livre à une caresse effrénée des 2 mains, découvre mon bourgeon qui gonfle (2 centimètres en érection), je me soulève, ouvre, butine clitoris, lèvres, tétons, je me livre ! Je m’abandonne, complice appliquée, dévouée à leurs regards concupiscents. La vue est imprenable et une glace me renvoie mon image provoque, salace et crapuleuse, libidineuse ! Orgiaque !
    
    Je sais qu’ils SONT LÀ ! LES DEUX ! Je leur délivre avec ferveur, impudeur totale, ce qu’ils convoitent ! Un engagement terrible, une promesse de jouissance, de plaisir...! Nue, offerte, mise à disposition par le vieillard, consentante par avance à bien des turpitudes... Je jouis ! Allumée de m’exposer. Les deux médecins hilares sortent ENFIN de leur cachette ! Manifestement aux anges de cet abandon sans ...
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