Nymphomane, moi ? Tome III (9)
Datte: 11/08/2023,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: Trixie, Source: Xstory
... compte bien profiter de leurs grosses queues noires.
— Salope, tu les aimes les noirs.
— Oui et tu le sais, tu sais aussi que j’adore que l’on me regarde faire l’amour !
Lorsque nous entrâmes dans la chambre, les deux caméras étaient allumées, l’une au plafond, l’autre grand-angle, positionnée sur le devant du lit, c’était celle-ci qui filmait pour l’instant. Alfred à distance pouvait les faire pivoter, zoomer.
— Alfred veut que tu te mettes en tenue de travail. Laisse-moi t’aider, tu veux bien ?
— Ouiiiiii. Je vais mettre le porte-jarretelles qu’il a voulu que j’achète.
Il s’approcha, dénoua la ceinture blanche qui ceignait ma taille, passa derrière moi et me positionna face à la caméra, puis il baissa les bretelles de la robe, dénuda lentement mes seins. Dans un geste d’offrande, je tendis ma poitrine vers l’objectif. Lentement, il tira le léger vêtement vers le bas, dévoila ma chatte bien rasée, et mes jambes gainées de noir. Il fit sauter les attaches du porte-jarretelles blanc et le dégrafa dans mon dos, il chute sur le sol. Il se déshabilla et nu comme un ver, s’allongea sur le lit.
Lascivement, j’enfilai ma nuisette noire en dentelle transparente, ajustai les bretelles sur mes épaules, positionnai bien les ouvertures du devant en face des aréoles de mes seins et nouai les petits rubans de fermeture. Elle couvrait tout juste mon sexe. J’agrafai autour de ma taille le porte-jarretelles noir qu’Alfred avait désiré que j’achète, c’est vrai qu’il ...
... était joli avec sa fine dentelle sur le devant. Je m’approchai du lit sur lequel Victor était étendu, me déhanchai devant lui, soulevant légèrement le bas de ma nuisette pour qu’il aperçoive ma chatte.
C’était maintenant la caméra du plafond qui filmait, Alfred et ses invités ne durent rien manquer.
Je regardai Victor. Il n’était vraiment pas beau, des cheveux blancs clairsemés, un visage émacié, un nez recourbé assez pointu, un torse poilu, exempt de toute musculature avec la peau du ventre qui plissait, des bras vraiment maigres, des jambes de momie.
Mais un énorme rouleau de chair d’au moins vingt-sept centimètres de long et de sept de diamètre, pour l’instant au repos, était étendu sur sa cuisse, et la longueur du membre en dépassait largement la moitié, son scrotum contenait deux testicules gros comme des œufs de pigeon, il avait rasé son pubis. L’absence de toute pilosité augmentait encore l’amplitude de son membre, il vit que je regardai sa verge monstrueuse, en souriant, il me dit :
— Elle te plaît, ma grosse bite. Tu crois que celle d’Idrissa est aussi grosse que la mienne ? Tu as dû le remarquer, mais que tu baises avec d’autres hommes attise ma jalousie, c’est plus fort que moi, et le comble de ma souffrance, c’est lorsque je te vois jouir avec eux !
— J’espère qu’elle est aussi grosse et en plus, elle est noire et tu sais que je les adore de cette couleur. Mais viens ici, agrafer mes jarretelles à mes bas. Alfred m’attend !
J’avais dit cela pour ...