1. L'avarice (1)


    Datte: 11/08/2023, Catégories: Gay Auteur: Jean seberg, Source: Xstory

    ... réponse, Jérémy resserra sa pression entre les jambes de Thomas, et se plaquant tout entier contre lui, l’emprisonna entre son dos et sa main. Coincé contre la voiture, il ne pouvait plus bouger et il sentit Jérémy relâcher la pression pour venir lui descendre la braguette. D’un geste, il atteint la verge et les testicules du fautif qu’il commença à presser et à pincer, à retourner dans tous les sens, serrant tellement fort sa main autour de sa bite qu’on aurait dit qu’il voulait la faire éclater. Étouffé en plus par le poids du corps de son compagnon, Thomas était complètement dominé. Jérémy n’interrompit le traitement que lorsque sa proie se mit à gémir de douleur. Il décolla Thomas de la voiture, attelant, et envisagea un puits dans la cour d’une vieille bâtisse au bord de la route. "Et maintenant, tu ne perds rien pour attendre", lui dit-il.
    
    Il empoigna Thomas par les cheveux, et le traîna jusqu’à un petit muret assez haut qui surplombait la source. Il cassa Thomas en deux, si bien que seuls ses jambes et son cul étaient visibles, le haut du torse, la tête et les bras pendants dans le vide. D’une main experte, il baissa sans retenue le pantalon du jeune homme et appuya sur sa nuque pour la maintenir dans le vide. La vue du cul de Thomas était jubilatoire: blanc et ferme. Jérémy ne se retint pas plus, il lâcha la nuque, défit son pantalon et sortit son pénis dur comme du bois. Rien ne l’excitait plus que sa propre colère et ...
    ... Thomas était le parfait vide-couilles, mignon, il se laissait prendre sauvagement, même quand il avait l’air de souffrir. Et Jérémy savait qu’il aimait ça. Et ça l’énervait encore plus, lui donnait encore plus l’envie de le défoncer, de le faire souffrir et à chaque altercation il devenait plus violent, bandait comme un lion et tentait d’arracher à Thomas le plus de cris possible.
    
    Sans plus de préliminaires, il écarta les fesses du jeune blond et y enfonça d’un coup un pénis épais comme un gourdin. Thomas hurla de douleur, mais lui n’en fit rien. Une fois que toute sa bite eut passé l’anus encore trop contracté, il s’immobilisa deux secondes pour faire sentir à l’autre qui était le maître. Puis il lui donna des coups de reins sauvages, rapides et profonds, une main de nouveau appuyée sur la nuque. Thomas sentait l’engin qui le remplissait complètement, le condamnait à la soumission totale, le cul à l’air et les yeux penchés sur le vide, il ne voyait pas la lumière de jour, et ne sentait rien d’autre que son cul se faire défoncer par cette rage, ses fesses se faire frapper par des couilles avides. Il n’était rien qu’un réceptacle, rien qu’un trou. Il sentait ses muscles se contracter, mais l’engin passait de force, lui imposant se présence, toujours plus vite, toujours plus fort.
    
    Jérémy au bord de la jouissance continuait de la prendre comme une vulgaire bête, quand un crissement de pneus se fit entendre sur le bord de la route... 
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