1. Un homme trop parfait...


    Datte: 10/08/2023, Catégories: fh, fplusag, jeunes, amour, soubrette, revede, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, Masturbation caresses, intermast, Oral pénétratio, fsodo, amouroman, Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe

    ... tout, ses seins, son clitoris, son anus. Ses mains papillonnent de l’un à l’autre, déclenchant enfin un fabuleux orgasme chez sa partenaire, ce qui le pousse rapidement à son tour au plaisir. Mais Anna, ayant encore assez de lucidité pour voir arriver la jouissance de Jérôme, se déconnecte d’un coup et plonge sur le pénis apoplectique, le saisissant à pleine bouche et à pleines mains. Ses beaux yeux bleus encore injectés de sang, elle regarde monter l’orgasme sur le visage de son amant qu’elle branle énergiquement tout en lui pompant le gland et en lui massant les couilles… Jérôme rugit et, dans un ultime coup de reins, se vide d’interminables jets dans la gorge de la jeune femme. Soulagé et épuisé, il retombe sur le dos, elle se jette sur lui après avoir tout dégluti.
    
    — Mon amour… j’ai soudain réalisé que nous n’étions pas protégés et que je risquais une grossesse accidentelle. Tu ne m’en veux pas, dis ?
    — Bien sûr que non. Tu aurais dû me le dire. Mais ça ne fait rien, tout va bien…
    — Oui, tout va bien, très, très bien même. Merci, c’était merveilleux, tellement doux et fort à la fois…
    
    Elle l’embrasse encore fougueusement, parcourt son cou, son torse, son ventre, à nouveau son sexe… Ils se câlinent longuement avant d’aller satisfaire leur fringale à la cuisine. Il prépare une salade, elle fait cuire des tranches d’agneau avec des haricots verts.
    
    — Tu sais, mon amour, je n’étais pas vierge, ce qui n’est pas bien pour une luthérienne, mais je vis avec mon temps ...
    ... et j’ai vite voulu savoir ce que c’était. Mais aujourd’hui, quand tu m’as pénétrée, j’ai immédiatement senti que c’était parfait. Je me suis sentie comblée, remplie, pas distendue non plus, juste bien, comme Cendrillon avec sa chaussure. Tu vois ce que je veux dire ?
    — Très bien, tu as trouvé chaussure à ton pied.
    — Encore une expression ? Vite, je note… Tu te rends compte ? Stupide ce conte. Comment veux-tu marcher avec des chaussures de verre ? Tu risques de te couper…
    — Mais non, ce n’est pas du verre, comme les vitres d’une fenêtre, mais du vair, v-a-i-r, une sorte de fourrure grise et blanche, de la peau d’écureuil des pays nordiques, comme le tien.
    — Noooonnn ! Pas possible ?
    — Si, je t’assure. C’est un conte français de Charles Perrault dont c’était la spécialité : Cendrillon, le chat botté, etc. Ce sont des imbéciles ne sachant pas ce qu’est le vair, la fourrure, qui ont compris le verre, comme le verre à boire.
    — Ah ça, c’est incroyable ! Je suis furieuse ! Arriver à vingt-cinq ans pour découvrir qu’on m’a menti depuis mon enfance. Parce que j’avais un livre avec cette histoire, et la chaussure était dessinée, transparente avec des étoiles pour bien montrer que ça brillait. Et même dans le dessin animé, c’était pareil.
    — Eh oui, tout ça fait par Disney avec… un mauvais traducteur !
    — Ha-ha-ha ! Exact, eh oui, on aurait pu le dire à ton copain Yann. Il faut que je lui envoie un mail pour qu’il me transmette un manuscrit à traduire. Je pourrai utiliser ton ...