1. Un homme trop parfait...


    Datte: 10/08/2023, Catégories: fh, fplusag, jeunes, amour, soubrette, revede, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, Masturbation caresses, intermast, Oral pénétratio, fsodo, amouroman, Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe

    ... kilomètres. Le ventre et les cuisses de Jérôme frappent le gros cul en cadence tandis qu’il pétrit les gros seins sans ménagement, pressant, pinçant étirant ces généreuses masses graisseuses n’ayant plus guère de tenue, encore moins après ce mauvais traitement. La quinqua s’arc-boute soudain tétanisée par un premier orgasme. À la surprise de Jérôme, le vagin un peu flou et sans réelle tenue se contracte violemment, soudain saisi de spasmes qui ne cessent pas, assez délicieux. Il redouble d’activité et commence à prendre goût à ce coït interminable. Colette est sur un plateau orgasmique et n’en descend plus tant que le mandrin la pilonne. Haletante, yeux exorbités, agitée de tremblements convulsifs, après tout elle est peut-être épileptique, du moins ça y ressemble vaguement. En fait, tout son être, toutes ses forces, toutes ses pensées sont concentrés sur son bas-ventre, sur ce fragile écrin de chairs tendres que le puissant phallus démolit à grands coups.
    
    — Tu aimes ça la queue, hein, vieille salope ?
    — Hungrrrr…
    — Tu mouilles et tu jouis, hein, grosse cochonne ?
    — Hungrrrr…
    — Je vais te la remplir de bon jus, ta vieille chatte en rut…
    — Hungrrrr…
    
    Habituellement si délicat avec les femmes, si respectueux, Jérôme s’entend dire ces mots sans même y croire. Jamais il n’a dit de telles horreurs à aucune femme. De plus, il ponctue ses propos de lourdes claques sur les cuisses de Colette, ça non plus il ne l’a jamais fait. Quelle incroyable frénésie s’est emparée de ...
    ... lui ? Et en plus, ces paroles triviales excitent son plaisir, il va jouir. Une dernière accélération, suivie par quatre coups de reins d’une extrême violence et les jets de sperme brûlant jaillissent dans le ventre de la femme, portant sa jouissance à son paroxysme. Elle hurle comme un goret qu’on égorge, frappe le capot du plat de la main, hoquette, cherche l’air, les yeux injectés de sang. Il la quitte soudain, laissant s’échapper de la vulve quantité de pets humides et disgracieux. Il passe la main par la vitre arrière, attrape un paquet de cigarettes dans son veston et en allume une, négligemment appuyé sur la carrosserie. Colette refait surface et demande timidement :
    
    — Vous n’auriez pas un mouchoir en papier, que je m’essuie ?
    — Ah non. Quand on vient se faire baiser, on prévoit, chère Colette, on prévoit. Venez ici faire la toilette de la queue qui vous a fait jouir, venez la remercier comme il se doit.
    
    La dame s’accroupit devant le mâle dominateur, accentuant ses pertes sonores, un filet de miasmes entre les jambes, et commence à lécher le pénis luisant maintenant au repos.
    
    — Allez, un petit effort, appliquez-vous, voilà, c’est mieux… Soulevez-le et gobez les couilles aussi, une par une… c’est bien, continuez… vous finirez suceuse de bites sur les trottoirs de Hambourg. Vous savez que certaines ont votre âge ? C’est bien, encore… Regardez comme il reprend vigueur… Vous voulez un deuxième tour, c’est ça ? Vous allez l’avoir…
    
    Il se fait ainsi sucer un bon ...
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