La mère de mon copain nous rend visite. (2) - Histoires de Sexe

La mère de mon copain nous rend visite. (2)

Ça fait trois minutes que je me caresse, la main plongée dans mon string, devant la porte de la salle de bain de la location de vacances que nous avons réservée pour deux semaines avec Vladimir mon amoureux. Je me doigte comme une forcenée pendant que mon chéri est sous la douche en train de se faire sucer par Francine alias Fanfan, sa mère, une belle quadragénaire blonde très sexy qui a vraiment le feu au cul.

Soudain, j’entends mon homme pousser un puissant râle avant qu’il se mette à extérioriser son plaisir.

— Oh oui ! C’est bon ce que tu me fais Fanfan, t’es vraiment la reine des suceuses. Oh bon sang! Ça va partir ! Je vais tout décharger dans ta bouche délicieuse. Aaarrrg....

— Ah le salaud!

Les exclamations de plaisir de Vladimir me désolent mais je suis trop excitée pour m’en soucier. Et je sens mon corps secoué par un incroyable orgasme au moment même où je plante un troisième doigt dans ma chatte trempée.

Je reprends doucement mes esprits avant de retourner m’allonger sur la chaise longue du balcon. Malgré le plaisir que je viens de ressentir, je suis en colère contre mon chéri et sa salope de mère.

C’est Fanfan qui sort la première de la salle de bains. Elle est entièrement nue. Vladimir la suit juste derrière, à poil lui aussi. Je l’entends s’adresser à sa mère.

— Maman d’amour, tu as le plus beau cul du monde; je l’adore vraiment. Il est tout simplement magnifique.

— C’est gentil mon coeur. J’espère que tu voudras bien y planter ta belle ...

... grosse queue au moins une fois pendant mon séjour avec vous.

— Je ne vois pas comment je pourrais résister à une telle invitation, répond Vladimir sans se soucier de ma présence.

"Quel salopard!".

Je suis de plus en plus furieuse après mon petit copain mais son dernier aveu provoque pourtant une nouvelle lubrification de ma chatte.

Francine en rajoute une couche.

— En attendant que tu trouves le temps de m’enculer, il va falloir que je me calme d’une façon ou d’une autre. Je suis bien trop excitée pour rester dans cet état, s’exclame t-elle avant d’ajouter:

— Si tu le permets, je vais aller m’allonger sur votre lit et me faire du bien avec mon géant noir.

Intriguée par le discours de la belle quadragénaire, je me redresse et je l’aperçois en train de plonger la main dans sa valise pour en extraire un énorme godemiché couleur ébène très réaliste avec de belles nervures saillantes.

— Tu n’as pas envie de m’accompagner sur le lit, et d’enfiler toi même cet énorme objet dans ma chatte brûlante, demande Francine à mon chéri avec une décontraction phénoménale.

— Tu sais bien maman d’amour que je le ferais avec plaisir, mais je dois aussi penser à ma Nancy chérie.

Fanfan interprète à sa manière la réponse de son fils et s’approche de moi en déboulant sur le balcon sans se soucier de sa nudité.

— Coucou ma belle, Vladimir me suggère de faire appel à toi pour me goder sur le lit de votre chambre. J’avoue que je trouve l’idée plaisante. Tu viens passer ...