1. Tu vas avoir honte... (3)


    Datte: 07/08/2023, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: Duchesse, Source: Xstory

    ... répète sans relâche combien elle est sale et qu’il veut son cul bien propre.
    
    En véritable petite chienne, Charline a pour habitude d’aller pattes nues et celles-ci sont noires de crasse. Il ne lui épargne pas la remarque et leurs fait subir le même traitement à l’eau glacée.
    
    Finalement, miséricordieux, il lui fait grâce de son supplice et ajuste la température de l’eau avant de lui mouiller la tête sans crier gare.
    
    Il se délecte de la situation, de la voir offerte à ses caprices, à ses moqueries. Tirant sur sa crinière, lui arrachant ainsi quelques cheveux belliqueux, il fait remarquer froidement, sur un ton agacé, qu’elle perd ses poils. Il ne la ménage pas, il veut être à la hauteur de ses attentes, mais prendre son temps, voire ses réactions de petite femelle affolée par ce qui lui arrive.
    
    Il sait qu’elle résiste à l’envie d’utiliser le safeword. Fière, elle se refuse à prononcer ce mot complice, choisit ensemble pour sonner sa reddition.
    
    Elle souffle dès qu’il la houspille, signe qu’elle n’est pas encore assez docile et que son côté humain n’a pas complètement laissé place à sa bestialité.
    
    Peu lui chaut ! Une fois les cheveux détrempés, il la shampouine sans douceur aucune, il frotte sa crinière avec une telle vigueur qu’elle ne peut empêcher sa tête de bringuebaler.
    
    Il entreprend de laver son corps de la même façon. Il la savonne sans le moindre ménagement avec un produit exagérément moussant et prend un plaisir non dissimulé à insister sur son ...
    ... cul offert en pâture au canidé. Il s’empare de ses tétines qui pendouillent dans le vide, ballottant au rythme des frictions et, ce faisant, il commente ses gestes :
    
    — Il faut bien laver ces mamelles... Voilà une petite chienne qui va avoir les mamelles bien propres pour son maître.
    
    Duchesse, qui commençait à se détendre sous l’effet des caresses mousseuses aux senteurs de figue, et de l’eau à présent tiède ; se vexe en entendant ces mots dégradants. Il l’excite beaucoup et elle voudrait être six pieds sous terre plutôt que d’assumer cela. Mais c’est divin, et servilement, elle continue à obéir lorsqu’il lui ordonne de se redresser.
    
    A présent à genoux, elle se laisse rincer en ne quittant pas le blanc immaculé de la baignoire des yeux, pour éviter de croiser le regard de celui qu’elle découvre sous un jour bien nouveau.
    
    Il coupe l’eau et, quittant la pièce une serviette à la main, ordonne :
    
    — Lève-toi !
    
    Immédiatement, elle s’exécute ; heureuse de soulager ses rotules sur lesquelles elle repose depuis un moment. Craignant de commettre un impair et en l’absence d’autres indications, elle reste là à attendre quelques instants. Le silence est finalement rompu par Maître Renard qui l’appelle de la chambre voisine.
    
    Recommençant à frissonner de froid, elle ne se fait pas prier et l’y rejoint encore toute trempée.
    
    Planté debout face à elle, il l’enjoint de se sécher en lui désignant une serviette de toilette étendue sur le lit. Naïve, elle se penche pour s’en ...