1. L'entraînement


    Datte: 07/08/2023, Catégories: f, h, fh, extracon, voisins, sport, cérébral, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation massage, Oral lettre, québec, Auteur: Rb07, Source: Revebebe

    ... s’activait dans son sexe, le caressant de l’intérieur, s’attardant sur les zones qui lui arrachaient les sons les plus lubriques. J’entendais sa respiration se faire plus courte, ses cuisses s’écartèrent encore plus largement. Je pris un moment pour embrasser l’intérieur de son aine et reprendre mon souffle. Elle me rappela à l’ordre en me tirant les cheveux, me retournant la tête de force. Je plongeai à nouveau ma langue en elle, alors que mon nez s’enfonçait dans sa fine toison. Mes doigts, ils étaient maintenant deux, allaient et venaient en elle. Je repris ma position sur son bouton de plaisir, aspirant et léchant en alternance, mordillant presque. L’huile d’olive se mélangeait à son jus, donnant à son fruit mûr un goût méditerranéen exquis. Les sensations labiales que je ressentais étaient divines ; la douceur de ma peau fraîchement rasée décuplant l’effet satiné de notre contact, ce qui ne faisait que m’inciter à plus de gourmandise.
    
    Dans ses mouvements pelviens qui augmentaient en amplitude à la rencontre de mes caresses labiales, Sophie prit appui sur ses pieds et se souleva de la chaise. Mes lèvres sentirent approcher les premières saccades qui allaient fatalement mener à son orgasme et elle expira de longs soupirs hoquetants. Elle m’agrippa l’arrière de la tête et m’écrasa littéralement contre son con. Je sentais couler la cyprine sur mes joues et mon menton et la force qu’elle appliquait à garder mon visage collé à son sexe m’obligeait à continuer les ...
    ... traitements que je lui infligeais. Ma langue, incapable de lutter contre la force de ses bras, n’avait d’autre endroit que son antre de chair pour se réfugier. Bouche et nez obstrués, je ne pouvais plus respirer.
    
    Mais au même titre où elle, tout à l’heure, avait tout donné au sprint final lors de son entraînement alors qu’elle était déjà exténuée, je concevais que ce n’était pas pour moi le moment de tout lâcher pour la simple raison que l’oxygène me manquait. Elle gémissait, rugissait en fait, tremblait sous les secousses de plaisir et je sentais les spasmes erratiques de l’euphorie qui parcourait son ventre. J’étais au cœur d’un rodéo de pure énergie charnelle, secoué dans tous les sens et tentant malgré tout de conserver ma concentration sur cette tâche sublime qui était de porter sa jouissance encore plus loin.
    
    Un coup d’œil vers le haut me fit entrevoir la perspective magnifique de ses seins totalement hérissés sous son chandail, comme s’ils hurlaient à la lune. L’asphyxie partielle constellait ma vision d’étoiles pour ajouter au surréel. Lentement, le torrent de sa jouissance se tarit, et elle relâcha sa prise. Je pus enfin reprendre un bol d’air, qui était chargé d’effluves sexuels enivrants. Je restai en contact avec elle, me délectant des dernières ondes de cette tempête qui venait de l’envahir. Ses mains étaient revenues sur mes tempes et les tenaient faiblement. Tout son corps se relâchait, inondé d’endorphines.
    
    J’éloignai mon visage de son entrejambe, remarquant au ...