1. L'entraînement


    Datte: 07/08/2023, Catégories: f, h, fh, extracon, voisins, sport, cérébral, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation massage, Oral lettre, québec, Auteur: Rb07, Source: Revebebe

    ... exquis…
    
    Elle avait refermé les yeux. Mon massage se faisait plus langoureux. Je lui pris le pied, et commençai à lui pétrir la plante en longs gestes plus puissants.
    
    — C’était tout aussi exquis d’être ce regard.
    
    Ce pied, qui glissait sous mes mains, c’était aussi exquis.
    
    — Comme cette première fois, lorsque nos regards se sont croisés. J’étais surprise d’avoir été observée, mais ça a propulsé mon plaisir si haut… Cette sensation d’interdit, de faire quelque chose de condamnable, de m’abandonner au risque, je crois que c’est ce qui m’a fait tant jouir. Dans ton regard, je me suis trouvée belle, sexuée.
    
    Elle soupira ses derniers mots plus qu’elle les prononça.
    
    — Tu étais si belle à voir. Si excitante.
    
    Mes mains continuaient de s’activer, et les siennes commencèrent. Celle qui reposait sur sa cuisse commençait à remuer en lentes caresses, et sa jambe libre s’écarta légèrement. Sa main remonta vers son bassin, emportant son chandail dans son mouvement. Je ne fus même pas surpris lorsque son sexe m’apparut, blotti entre ses deux cuisses. Je me doutais bien qu’elle n’avait enfilé qu’un chandail. Quel délice.
    
    Son autre main descendit lentement du cou vers son bas-ventre, s’attardant que peu de temps sur sa poitrine, qui pointait déjà à travers le coton léger. Elle la glissa sous son chandail et je la vis remonter sur sa peau pour retrouver son sein. Pendant ce temps, l’autre s’était frayé son chemin jusqu’aux lèvres roses de sa vulve, qu’elle parcourait ...
    ... délicatement. En un rien de temps, un doigt disparut en elle, lui arrachant un soupir. Je continuais à masser son pied, et j’étais déjà très à l’étroit dans ma prison de lycra. Je voyais sa main qui malaxait fermement son sein, alors que le téton de l’autre tendait encore plus son vêtement. Son doigt s’activait en elle, et sortait de temps à autre pour titiller son clitoris, ses jambes étaient maintenant très écartées, ce qui me créait la vision d’un entonnoir dans lequel je n’avais qu’envie de plonger.
    
    Je massais plus fort ; j’allais lui démolir les cartilages. Plutôt que de torturer davantage le pied, je décidai de le déposer par terre, ce qui eut pour effet de la sortir momentanément de sa transe. Je me glissai en bas de ma chaise, en faisant remonter mes mains huileuses d’abord sur ses tibias, puis en effleurant l’intérieur de ses cuisses. Je m’agenouillai devant elle. À quelques centimètres de mon visage, ses phalanges, tout à l’heure si actives, avaient réduit leur cadence, sans toutefois s’arrêter complètement. Ils brillaient de la cyprine dont ils étaient enduits. Tout était luisant du fruit du plaisir qu’elle s’offrait, même si ce petit jeu n’avait jusqu’à maintenant duré que quelques minutes. C’est à ce moment que ma conscience crut bon de m’interpeller :
    
    Ce fut la dernière pensée sensée qui traversa mon cerveau avant que je ne plongeasse dans cet univers parallèle où seuls les plaisirs charnels, les sensations extasiantes, les peaux rendues hypersensibles par ...
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