1. L'agente immobilière (1)


    Datte: 06/08/2023, Catégories: Hétéro Auteur: Master_of_Words, Source: Xstory

    ... aspirait, par moments, me donnant une sensation de pur plaisir. Ma respiration se faisait plus courte et bruyante. Il ne fallut que peu de temps pour que je sente le plaisir monter, mais elle s’arrêta, juste avant, se redressant face à moi. Ses doigts vinrent se glisser entre mes lèvres. Un léger goût salé se fit ressentir, ne faisant qu’accroître le désir que j’éprouvais en ce moment.
    
    Elle s’assit alors sur l’escalier qui menait à la mezzanine et écarta les cuisses, remontant sa robe sans aucune pudeur, sur un sexe d’où repoussaient quelques poils foncés. Elle me fit signe de venir. Ce que je fis. Je me mis à genoux et glissai ma tête entre ses cuisses, commençant à faire de doux baisers sur sa peau bronzée. Ses deux mains glissèrent dans mes cheveux et elle attira ma tête sur son sexe, à son sexe. J’avais les lèvres dessus. Son impatience m’excitait au plus haut point et quelque peu téméraire, je vins glisser ma langue en elle. Au son de ses soupirs, c’est ce qu’elle attendait. Elle tira un peu plus fermement mes cheveux, tout en gardant ma tête entre ses cuisses. Je bandais fortement alors que ma langue jouait au plus profond d’elle. Parfois, elle relâchait un peu la pression qu’elle exerçait et je venais suçoter son clitoris, le mordiller à d’autres moments.
    
    Et puis, sans crier gare, elle me remettait le visage contre son sexe et je la pénétrais, de nouveau, de ma langue. Cela n’avait rien à voir avec les rares cunnilingus que j’avais exercés avec mes petites ...
    ... amies de l’époque. Elle me guidait. Je n’avais plus aucune notion du temps. Cela aurait pu être quelques minutes ou une dizaine. Elle me repoussa et je tombai au sol, le plaisir sur le visage.
    
    Elle sourit en me voyant, allongé, bandant. Ses seins étaient toujours en dehors de sa robe. Elle la fit tomber, étant carrément nue. Elle vint sur moi et prit mon sexe en main, descendant mon bermuda de quelques centimètres supplémentaires. Elle se pencha un peu plus et je sus, à cet instant, qu’elle en avait autant envie que moi. Je n’avais jamais vu une femme si vulgaire et affamée. Et la situation m’excitait grandement. Elle frottait sa vulve contre mon sexe, demande charnelle d’être prise, remplie. Elle tint mon sexe et se glissa sur moi dans un long et puissant soupir. Les deux mains agrippées à ses hanches, je dus la lâcher sous la puissance de cette sensation. Elle commençait à monter et descendre, sans me laisser de répit face à ce fort plaisir qui m’envahissait. Je devinais le sien tout aussi présent au son de ses soupirs et ses gémissements qui franchissaient, par mégarde, la barrière de ses lèvres. Quel sentiment pour un jeune de pouvoir combler une femme si mature.
    
    Surtout quelle excitation !
    
    Nous étions tous les deux, perdus dans cet appartement vide d’un petit immeuble dont la presque totalité des habitants travaillait. Ses mains posées sur mon torse, elle avait la tête redressée sous le plaisir et se laissait allègrement aller sur ma queue. La chape de plomb était ...