1. La mère de ma petite amie.. (6)


    Datte: 05/08/2023, Catégories: Hétéro Auteur: caribonex, Source: Xstory

    ... qu’elle raconte vraiment bien, une certaine partie de mon corps commence à avoir sa propre vie. J’ai bien essayé de maîtriser le phénomène de gonflement du corps caverneux, cela ne fonctionne pas, bien au contraire. Elle doit visiblement sentir ce qui se passe et j’ai l’impression qu’elle en rajoute dans ses descriptions, la façon dont elles se sont embrassées la première fois, suite à tout un jeu de séduction les premières caresses, le délicat ballet des langues sur des entrelacs de dentelle et de peau dévoilées.
    
    Je suis donc totalement surpris quand d’un coup, au milieu de son histoire racontée d’une voix sensuelle, elle lâche.
    
    — Ça te fait triquer mon salaud hein ?
    
    Je dois ressembler à un lapin pris dans les faisceaux des phares, la bouche ouverte dans un grand O, le souffle coupé. Mais je n’ai même pas la possibilité de le reprendre quand elle m’assène un coup final en lâchant d’une voix rauque.
    
    — Et je te comprends, moi je mouille comme une folle. Et j’ai follement envie de baiser.
    
    Puis elle se jette sur moi telle une sangsue, alors que je suis figé, totalement désarçonné, sans pensées cohérentes.
    
    C’est Shiva aux 4 bras même si j’ai l’impression qu’il y en a bien plus. Je suis serré, palpé, caressé, empoigné, tripoté, masturbé et quand j’essaye de respirer, sa langue fouille ma bouche pour se battre avec la mienne. Elle est déchaînée, comme si une digue avait cédé et je sais d’où elle tire cette attitude. J’ai la pensée de tout lui dire, tout lui ...
    ... avouer, mais la chair est faible et surtout la crainte de me faire trucider me freine.
    
    Heureusement, nous étions nus, sinon nos vêtements seraient en lambeaux. Je profite d’un moment où elle me suce ou plutôt m’aspire tant elle y va de bon cœur pour, enfin, reprendre mon souffle et pouvoir lui répondre comme il convient. A force de caresses, de coups de griffes, de petites morsures et de gestes endiablés, on se retrouve en 69. Elle n’a pas menti, sa petite chatte dégouline de cyprine que je lape et déguste comme un forcené pendant que je sens mon sexe tendu dans la chaleur humide de sa bouche. Nos corps sont brûlants, c’est intense, en quelques instants, je suis tendu de partout et prêt à jouir.
    
    Je manque d’ailleurs de jouir quand elle me lâche d’une voix encore plus rauque qu’avant.
    
    — Bouffe-moi le cul, je veux que tu me prennes par là.
    
    — Tu es ?
    
    — Lèche-moi bordel, vas-y tu mérites bien ce cadeau, oh hmmmm puutain.
    
    Ses mots deviennent rapidement incompréhensibles, elle a heureusement lâché ma queue, car j’étais prêt à jouir et ce n’est plus que petits cris, gémissements ; surtout qu’en plus de ma langue qui taquine son œillet brun, j’ai rajouté un index inquisiteur qui la fait carrément feuler de plaisir.
    
    Je ne l’ai jamais vue ainsi et je me demande quand je vais recevoir la facture quand elle se laisse rouler sur le côté avant de se mettre à quatre pattes, tête vers le mur avant de me déclarer.
    
    — Vas-y prends-moi, encule-moi,
    
    Je me redresse un peu, me ...