1. La crique des pommes (1)


    Datte: 04/08/2023, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Dyonis, Source: Xstory

    ... gratifiait de savants mouvements de rotation.
    
    Évidemment, la tige à demi molle prit une l’ampleur d’une bite de concours.
    
    John la laissait faire, sans un mot.
    
    Le sable chassé, Anaïs rangea son matériel, triomphante. Puis elle reprit le spray d’huile solaire, et en déversa une trop grande quantité sur le ventre de John. Elle étala donc le fluide un peu partout, touchant à plusieurs reprises la queue tendue de John, qui se dressait presque jusqu’au nombril.
    
    N’ayant jamais touché d’autre verge que celle de son mari, elle fut à nouveau hypnotisée par la puissance érotique de la colonne de chair. Le gland décalotté, joliment proportionné et cramoisi de désir la captivait également. L’envie de caresser cette bite devenait plus forte de seconde en seconde.
    
    — John ?
    
    — Je crois que ... enfin ... Il me semble que le soleil risque de te brûler ... là.
    
    — Tu veux bien me mettre de la crème ?
    
    — Je ne sais pas si nous sommes censés faire cela.
    
    — Vis-à-vis de ton mari, je te laisse juge, mais concernant Eva, je suis sûr qu’elle serait très amusée de te voir le faire.
    
    — Tu ... tu crois ?
    
    — Oui ... Tu n’as qu’à te dire que c’est pour me protéger que tu me mets de l’huile vraiment partout ... Non ?
    
    — Oui ... Tu as raison.
    
    Anaïs ferma les yeux un court instant, comme pour puiser en elle le courage de résister à la tentation de prendre en main ce sexe. En vain. Mortifiée de céder aussi facilement, elle tendit la main.
    
    — Tout va bien Anaïs ?
    
    Eva était ...
    ... là, debout sur la plage. Anaïs sursauta comme une enfant prise en flagrant délit.
    
    John toujours silencieux, releva la tête vers sa compagne, et lut sur son visage une expression indéfinissable qu’il ne lui avait jamais vue.
    
    Eva marcha vers eux. Nue, mouillée, les seins durcis par la fraîcheur de sa sortie de bain, le sourire qui illuminait son visage et l’intensité de son regard, son déhanché souple et voluptueux la rendaient irrésistible.
    
    Anaïs, la gorge serrée, ne put articuler un seul mot.
    
    Eva vint s’agenouiller face à elle, à l’opposé de John, toujours immobile, la peau luisante et la queue brusquement en berne.
    
    Elle posa une main sur le torse de son homme et l’autre sur une cuisse, entamant une lente caresse huileuse.
    
    Fixant Anaïs droit dans les yeux, elle demanda :
    
    — Tu en étais où déjà ?
    
    Le cerveau d’Anaïs tournait à toute vitesse, déchiré entre une peu instinctive de la jalousie qu’Eva pouvait concevoir en ayant surpris son geste, la demande tendancieuse qu’elle avait transmise avant d’aller nager, et son attitude ambigüe, entre dominance et complicité.
    
    Eva décrypta facilement l’inquiétude d’Anaïs. Après ce qu’elles avaient partagé en se masturbant l’une à côté de l’autre, après ce qu’elle-même venait de vivre sur le rocher avec Greg, il semblait que cette matinée soit teintée d’une aura sexuelle tout à fait hors-norme. Il n’existait que deux façons de réagir. Résister ou se laisser envahir par l’érotisme.
    
    Pour l’instant, seul John n’avait ...