La crique des pommes (1)
Datte: 04/08/2023,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: Dyonis, Source: Xstory
... vulve d’Eva. Il fit alors bouger son majeur de droite et de gauche, s’insinuant peu à peu entre les grandes lèvres. S’enfonçant un peu plus, il parvint à écarter les petites lèvres, qui livrèrent alors leur ultime secret. Celui d’une humidité douce et ô combien glissante. Son majeur enduit des sécrétions de la belle conquise, s’anima de va-et-vient de plus en plus profonds, jusqu’à ce qu’il eut totalement disparu dans la grotte liquide de plaisir. Eva ne put retenir un soupir.
L’annulaire de Greg suivit alors le même chemin, pénétrant aussi facilement le vagin que le majeur. Eva ne put que se cambrer de plaisir.
— Alors comment devons-nous qualifier une femme aussi ruisselante à se laisser doigter par un inconnu au bout de cinq minutes.
Eva gémit.
— Je ... je ne sais pas ...
— Si, bien sûr que vous le savez. Une exhibitionniste perverse.
Eva demeurait silencieuse. Les doigts de Greg produisaient un bruit de succion d’un érotisme fou.
— Vous entendez comme vous mouillez ?
— Ouiiii.
— Cela veut dire que vous avez perdu votre pari et que vous avez un gage.
Eva observa la verge de Greg avec une envie exacerbée par les doigts de Greg, dont la douceur explorait son point G. Elle gémit plus qu’elle ne prononça.
— Vous accepteriez une pipe en guise de gage ?
— Je vois que vous savez parler aux hommes.
Eva se redressa et se plaça à genoux entre les cuisses de Greg. Le rocher lissé par la mer fut plus confortable qu’il le paraissait au premier ...
... abord. Elle commença par caresser le torse de l’homme, puis descendit vers son ventre.
L’imminence de la caresse sexuelle faisait battre la verge de désir. Elle prit un volume plus conséquent, se dressant sur une quinzaine de centimètres.
Lorsqu’elle se pencha dessus, elle commença par lécher la hampe sur toute sa longueur, montant et descendant lentement. Elle s’attardait sous les bourses parfaitement épilées, faisant rétrécir le scrotum. Puis elle remonta jusqu’au gland, qu’elle se mit à laper du plat de la langue sur le frein tendu qui séparait les deux lobes. La peau y était fragile douce. En mouillant le gland de sa salive, elle le caressait de ses lèvres gourmandes et pulpeuses, le gobait en l’aspirant comme l’aurait fait une ventouse, puis relâchait la succion pour l’envelopper en une caresse plus douce et voluptueuse. Parfois, sa langue flattait la couronne en tournant autour, sur toute la circonférence du gland. Enfin, elle commença à emboucher le membre, se régalant de l’enfoncer un peu plus, le léchant du plat de la langue en le pressant sur son palais pour mieux le téter.
Eva se laissait elle-même emporter vers l’ivresse de cette dégustation, à laquelle elle prenait presque autant de plaisir que son bénéficiaire. L’entendre grogner et soupirer au gré de la fellation, révélait à Eva le pouvoir immense de délivrer ce plaisir à cet homme. Elle-même gémissait parfois du plaisir de sentir ce membre frémir autant que de celui de goûter à cette colonne de chair ...