Les semaines avec Claire et les partouzes avec elle (3) - Histoires de Sexe

Les semaines avec Claire et les partouzes avec elle (3)

Le lendemain matin, Claire et moi arrivons à la Fac.

— Je veux Victoire chez moi ce soir !

— Je ne sais pas vraiment comment faire !

— Débrouille-toi, je veux vous baiser et vous enculer toutes les deux ce soir !

Victoire est étudiante dans notre Fac. Petite, pas plus qu’1m63, brune, cheveux assez longs descendant au milieu du dos, souvent en tresses, très mignonne et des gros seins pour sa taille. Elle a 25-26 ans, et je l’ai remarqué dès qu’elle est arrivée à la Fac. Elle est marrante et manifestement, vu le nombre de mecs avec qui je l’ai vue, elle adore baiser.

Une heure plus tard, Claire vient me voir dans mon bureau :

— Bon, ça s’annonce bien.

— Explique !

— Elle vient de se faire plaquer par son mec.

— Pourquoi ?

— Il ne voulait pas jouir dans sa bouche, il a trouvé ça répugnant.

— Et elle, elle aime ça ?

— Manifestement.

— Alors, profite, c’est une bonne voie. Retourne la voir, je suis sûr qu’elle adore se faire baiser. Et dis-lui que moi j’adore gicler dans une belle bouche.

— Je n’oserais jamais.

— Dis-lui alors que tu l’aideras dans sa tristesse.

Deux heures s’écoulent et Claire revient me voir :

— Je lui ai proposé de venir passer la soirée avec moi ce soir et elle a accepté.

— Super !

— Je n’ai pas dit que ce serait avec toi ni avec un mec, elle sait que je ne suis plus avec Steph.

— Oriente-la vers une soirée sexe !

— Oui. Ça m’excite !

Plus tard, je vais à la Cafétéria, et elles sont en pleine ...

... conversation, je les rejoins :

— Salut, les filles.

— Bonjour Monsieur Lezy.

— Appelle-moi Christian, s’il te plaît.

— Oui, Monsieur ... Christian.

— Bien, tu n’as pas l’air en forme.

— Bah, j’ai des soucis.

— Oh, c’est dommage, parles-en à Claire. Je suis sûr qu’elle pourra t’aider.

— Qu’est-ce qu’il a voulu dire ?

— Ben, quand on perd son mec, deux solutions : on pleure ou on fait un truc sympa qui fait jouir.

— Tu veux dire quoi ?

— Une soirée, toi, moi et Christian.

— T’es folle ! Il est vieux !

— Vieux, mais une belle bite et qui marche bien !

— C’est débile ! Et elle se casse.

Tout de suite, elle atterrit dans mon bureau :

— Je doute que je puisse vous parler !

— Te, plutôt que vous, s’il te plaît !

Mon téléphone sonne.

— Excuse-moi, je la regarde se frétiller sur sa chaise.

C’est Claire qui m’appelle :

— Je suis sûre qu’elle viendra te voir.

— Effectivement, elle est là, lui dis-je en regardant Victoire droit dans les yeux et caressant ma verge. Je m’en occupe ! Toi, tu vas chez moi, on te rejoint, OK ?

— OK ! Génial !

Je me tourne vers Victoire :

— Tu voulais, Victoire ?

— Claire m’a proposé de venir baiser avec vous.

— Avec elle et moi, oui !

— Je pense que vous êtes tarés et je vous demande de me lâcher les baskets.

— Pourtant j’avais cru comprendre que tu aimais bouffer du foutre, non ?

— Je ne vois pas le rapport.

— Moi si, parce que moi j’aime gicler dans une bouche.

— ...