1. Brelan de Dames


    Datte: 01/08/2023, Catégories: fff, vacances, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme strip, Masturbation caresses, intermast, Oral 69, fouetfesse, lesbos, Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe

    ... le tète. Les soupirs de Julia se succèdent, s’accélèrent, se fondent en geignements précipités, culminent en râle aigu, s’interrompent… Et, toujours rivée à la tétine exacerbée, je recueille sous ma bouche la jouissance de ma nouvelle amante que notre amour commun entoure affectueusement de ses bras.
    
    Quand elle revient sur terre, Julia me fait un clin d’œil. Je crois que nous allons bien nous entendre.
    
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    Journal de Julia
    
    Je. 09/07, matin :
    
    Mes craintes étaient fondées, mais à rebours de mon imagination : c’est moi qui suis séduite par Christine. Heureusement, je suis toujours autant amoureuse de Chantal !
    
    La première impression a été bonne. (Pardon, j’oublie notre convention : ma première impression est bonne.) Christine est une femme sympathique de prime abord. Elle doit avoir quelques années de plus que moi, pas plus grande que Chantal et un peu plus ronde. Par contre, elle semble plus souple et plus sportive. Elles se sont connues à la gym ; si elle pouvait avoir une bonne influence sur ma dolente Chantal !
    
    Je la vouvoie, elle ne me reprend pas. Tant mieux : j’aurais été contrariée d’un « tu tu » imposé. Sa fille ne minaude pas comme une péronnelle, cela aussi est bon signe. Au reste, j’ai à peine le temps de lui dire bonjour : Marion l’embrasse autant que Sandra et Brigitte l’ont fait et elles papotent aussitôt toutes les quatre. Le courant passe entre nos filles, c’est peut-être de bon augure.
    
    Apéritif agréable, la ...
    ... glace fond entre nous aussi vite que dans les verres. Chantal nous a concocté un repas de reines auquel nous ne rendons pas l’hommage qu’il mérite tant nous sommes plongées dans une conversation animée. Le commerce avec Christine modifie mon a priori sur les experts-comptables, je ne m’attendais pas à autant de décontraction et de naturel chez une femme de cette profession. Nous restons dans les domaines de la bonne éducation, cependant. Pas d’allusion équivoque ni de sous-entendu coquin, sauf à propos de ma première nuit chez Chantal, dont Christine semble bien informée. Mais c’est ma faute : c’est moi qui l’aie évoquée.
    
    Nous sommes tellement conventionnelles que nous ennuyons les filles. Elles se hâtent de profiter d’une permission d’au-delà de minuit que nous leur octroyons à l’incitation de Chantal. D’après elle, il n’y a aucun problème à craindre avec les amis qu’elles vont rejoindre.
    
    (Petite remarque : je ne sais à quelle heure elles sont rentrées, nous n’avons rien entendu. Dans leur chambre où j’écris, les lits sont joints et les draps passablement froissés. Je ne suis pas sûre qu’elles ont dormi autant qu’elles nous l’ont assurée.)
    
    Dès leur départ, nous passons dans la chambre. Je suis la seule à bénéficier du fauteuil. Je ne me demande pas longtemps pourquoi : Chantal souhaite mon avis « objectif » sur Christine qu’elle effeuille devant moi, comme une mère maquerelle proposant une de ses pensionnaires. Je n’y vois qu’amusements, au début. Mais découvrir ...
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