1. Brelan de Dames


    Datte: 01/08/2023, Catégories: fff, vacances, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme strip, Masturbation caresses, intermast, Oral 69, fouetfesse, lesbos, Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe

    ... chérie. Mets-toi à genoux et masturbe-toi devant nous.
    
    C’est encore plus excitant ! Les cuisses larges écartées, je déplie ma tirelire à pleins doigts. Il est tout naturel qu’elles en apprécient les coulures de cyprine. J’étale mes nymphes comme deux belles ailes de papillon, bombyx géant en l’occurrence. Elles connaissent par cœur les détails de ma cramouille, j’espère qu’elles les distinguent bien et qu’elles s’en régalent. À voir leurs mains qui s’activent réciproquement sur leurs chattes, cela semble le cas.
    
    Je les imite avec soulagement pour combler la furieuse envie de me branler qui m’étreint. Nos soupirs de plaisir se mêlent et s’intensifient. Le langue à langue passionné de Christine et Julia me frustre. Je souffre de ne pas avoir une bouche amie à partager, je souffre du manque d’une main sur mes seins, je souffre de devoir les pétrir moi-même… Tant pis ! Je suis heureuse de leur offrir la montée de ma jouissance et mes doigts s’agitent frénétiquement dans mon con pour la précipiter.
    
    Je ne sais pas si nous l’atteignons ensemble, mais l’orgasme nous emporte dans un tourbillon de spasmes et de plaintes dont l’écho doit se répercuter dans la maison. Je n’y pense même pas, toute entière occupée à savourer le bonheur que je partage avec mes amies. Notre souffle est court, nos regards se croisent en silence. Nous n’avons pas besoin de mots pour nous exprimer notre affection. Elles m’ouvrent leurs bras et je me love dans leur giron.
    
    Longue, douce, tendre et ...
    ... fusionnelle étreinte, où chacune se perd dans le ravissement des autres, où chacune se fond dans la chaleur des autres, où chacune jouit du plaisir assouvi des autres, où trois corps frémissants n’en font qu’un qui frissonne… trois cœurs pour un seul amour.
    
    (Bon, je m’enfonce dans le romantisme bêtifiant. Julia va s’étonner et Christine se moquer ! Je n’y peux rien : c’est ce que je ressens et nous avons dit que nous serions sincères à propos de nos sentiments. Je vous aime toutes les deux et je suis profondément heureuse que vous m’aimiez. Oh, bien sûr, je ne réclame pas « L’AMOUR », le seul, l’unique, le grand amour ! Aucune de nous ne l’exige, et sans doute ne tiendrait-elle pas au long du quotidien casanier. Mais cette amitié profonde et physique qui nous unit est pour moi le sommet du bonheur.)
    
    La suite de notre étreinte est évidente. À peine sommes-nous repues de notre jouissance que le désir de l’autre – des autres – nous reprend. Mes amantes se laissent glisser à plat dos côte à côte et m’invitent gentiment à m’étendre sur elles tête-bêche. À deux, un soixante-neuf classique, mais comment appelle-t-on cette position à trois ? Un cent trois virgule cinq ou un cent trente-huit ? Je ris toute seule de cette question saugrenue qui me vient à l’esprit en posant ma bouche de la chatte parfumée de l’une à la chatte embaumée de l’autre. Elles se méprennent sur ma gaîté.
    
    — Si tu trouves que ça sent trop fort la femelle en rut, ne t’en prends qu’à toi-même, grommelle ...
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