Voyage en Afrique (1)
Datte: 31/07/2023,
Catégories:
Lesbienne
Auteur: zooph34, Source: Xstory
... très belle femme.
— Et tu aimes les très belles femmes, en fait, tu aimes les femmes.
— Comment tu sais que j’aime les femmes ?
— Je ne le savais pas, mais ta manière de me regarder m’a interpelé, c’est pour ça que j’ai fait un tour sur moi-même et que je t’ai posé cette question.
— Pour répondre à ta question, oui j’aime les femmes, et ce que je vois me plaît, me plaît beaucoup même, tu es très belle, j’espère que le fait d’aimer les femmes n’est pas rédhibitoire pour toi, et que tu resteras.
— Ne t’en fais pas, il n’y a aucune raison que je parte, je dois dire que moi aussi, ce que je vois me plaît, j’aime voir de belles choses, et tu es une très belle chose.
— Merci, quoiqu’une « chose ».
— Une femme, une très belle femme.
— Merci.
— Et les femmes ne m’attirent pas.
— J’avais bien compris.
— Mais dis-moi, tu m’as dit t’être fait larguer pour une autre fille, c’est une femme qui t’a largué ?
— Oui, nous étions ensemble depuis quatre ans.
— Tu es lesbienne cent pour cent donc.
— Non, je ne déteste pas faire l’amour avec un homme, je suis bi tendance Sapho, mais je préfère de loin les femmes.
Nous nous installons côte à côte. Nos premiers voisins sont à plus de trois cents mètres, je n’ai jamais vu ça, c’est le rêve. Nous allons nous baigner, je ne peux pas sortir de cette eau à trente degrés, c’est le paradis pour moi qui entre difficilement dans de l’eau à vingt-quatre degrés. En plus, il y a une houle de quarante centimètres, ...
... quand on reste immobile, l’eau monte des cuisses aux seins pour descendre et remonter indéfiniment, c’est génial. L’eau remonte et affleure juste mes seins, j’ai comme une sensation de caresse, j’adore. Je sors de l’eau bien après Joy, je viens m’allonger à côté d’elle, allongée sur le ventre. Je ne peux détourner mes yeux de ce corps magnifique, et surtout de ses fesses rondes, hautes, que l’on sent fermes et douces. J’ai une drôle de sensation, je me mets moi aussi sur le ventre.
Nous restons un petit moment immobiles sans parler, mais il est plus de dix heures, le soleil est haut et il n’y a pas un nuage à l’horizon, je commence à sentir sa morsure sur ma peau.
— Le soleil commence à me cuire le dos, il faut que je me protège, tu as de la chance toi, tu es déjà bronzée.
— Détrompe-toi, il faut que je fasse attention comme tout le monde, les noirs prennent des coups de soleil, moi-même, je bronze comme toi, seulement, le vais à Agde tous les week-ends depuis trois mois, je suis déjà bronzée, c’est pour ça que je peux me mettre un peu au soleil.
— Je ne savais pas.
Je sors ma crème pour m’en passer sur le dos, mais c’est assez difficile. Joy se redresse.
— Passe-moi ta crème, je vais te la passer.
— Ça ne te dérange pas ?
— Devine.
Je réalise qu’elle aime les femmes et qu’elle va pouvoir passer sa main sur mon corps, ce qu’elle doit espérer depuis un petit bout de temps, dans le fond, je m’en fous, j’ai pas mal de copines qui m’ont passé de la crème ...