1. Chambre 116


    Datte: 30/07/2023, Catégories: hh, inconnu, sales, telnet, odeurs, BDSM / Fétichisme intermast, facial, Oral hdanus, gay Auteur: Entremecs, Source: Revebebe

    ... la suceuse que je deviens, il y a du chalenge !
    
    Son sexe est dans son capuchon, ses boules déjà bien remontées. Le petit bout de peau qui culmine au-dessus de son gland est fermé et luisant, je frotte mes joues contre. Il sent encore la pisse, ça me rend dingue. Mes sens me contrôlent, je me laisse aller. Je redescends vers ses couilles, je commence à les lécher doucement. Il frémit doucement, je descends sur son périnée. Cette odeur de transpiration me transcende, je ne sais plus quoi de ma bouche, de ma langue ou de mon nez font des allers-retours sur tous ces plis, à la recherche de la moindre particule odorante. Ce traitement ne l’a pas laissé de marbre. Au-delà de ses grognements, je remarque en remontant sur l’objet de mes désirs que ce dernier gonfle doucement. Il gonfle, se gorge de sang et lève doucement le nez. Cet appel est entendu, je remonte en embrassant de mes lèvres humides chaque millimètre carré de sa bite. Lorsque j’arrive à son sommet, il n’est pas encore complètement dur.
    
    Je l’embouche sans le décalotter, aspire à fond et je laisse ma langue aller à la rencontre de son gland sous son prépuce. Ça fait son effet, il gémit et je suis complètement fou de la situation. Il mouille un peu, il sent la pisse…l’effet est génial sur ma bite, je bande comme un taureau. Je ne lâche pas ma dépression, je commence des va-et-vient sur sa bite qui à présent est tendue et gonflée. Il ne m’a pas menti, il fait bien son dix-sept centimètres et c’est un morceau de ...
    ... choix. Je commence à baver dessus, il adore ça. Il me regarde le sucer en s’allumant une clope, je suis sa chienne et je ne lâche pas mon os. Je le branle, je lui tète le gland, m’amusant à le décalotter et le recalotter pour sucer son prépuce. Son vit est reluisant de ma salive, ça coule sur ses couilles. Je décide donc d’entamer ce qu’il voulait. Sans l’en avertir, je commence à avaler son mât en ouvrant bien la bouche, je descends tout doucement, son gland bute sur mes amygdales et je continue d’avaler paisiblement jusqu’à ce que mon nez s’écrase contre son pubis. Il retient sa respiration, je sens son gland et toute sa bite durcir au fond de ma gorge, et je le surprends encore en léchant ses couilles en même temps. Je l’avais prévenu, je sais sucer !
    
    Je me rends compte qu’il apprécie, et qu’il prend son temps. Il bande dur, il gémit, me dirige en mettant ses mains sur ma tête. Je ressors tout, reprends ma respiration, et recommence plus rapidement et entreprends de le sucer en longueur et profondeur. Il me tient la tête et commence à me faire des va-et-vient, il bande dur et me fais bander dur.
    
    Je me retire, il veut que je m’allonge sur le dos, la tête au bord du lit – je ne me fais pas prier – et vient littéralement me baiser la bouche. Il y va tellement fort que j’en ai des hauts de cœurs, mais je tiens. Je bave sur sa bite, sur ses couilles, mon visage est gluant. Il stoppe, et va dans sa valise chercher un cockring. Il est endurant, ça doit faire déjà vingt minutes ...