1. Dressage d'une flic arrogante (6)


    Datte: 29/07/2023, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: Blueberry89, Source: Xstory

    ... crier cette nuit, et comme tu le vois, elle était consentante. Tu vois comme elle a aimé que je la traite comme un sac à foutre ? Regarde son visage. Ah j’adore ce moment , regarde.
    
    Sokolov grince des dents en observant l’écran sur lequel on voit le stagiaire en train de jouir sur ma peau en poussant un grognement victorieux.
    
    — Tu es un malade… Finissons-en qu’est-ce que tu veux ? dit-il enfin
    
    — Moi ? Maintenant que vous êtes là tous les deux, je vais me faire un plaisir de vous tuer. Quoique… Je me demande si je vais pas la baiser devant toi avant. Ça pourrait être fun !
    
    — Espèce de psychopathe, le provoque Stan. Vas-y butes-moi ! Sors un peu tes couilles  !
    
    — Je crois que tu oublies qui tient le flingue ici. Tu devrais faire gaffe à ce que tu dis.
    
    Tarek perd un peu de son flegme, alors que Sokolov s’avance vers lui, le faisant reculer légèrement.
    
    — Tu te prends pour un mâle alpha parce que tu as soumis une femme en lui racontant des salades ? Se moque-t-il. Tu peux la baiser tant que tu veux, j’ai eu mon compte avec elle. Mais moi au moins, je n’ai pas eu à ruser pour la soumettre.
    
    — Même sous la menace, t’es toujours un gros connard arrogant Sokolov. Tu vas regretter tes paroles, je te le jure. S’emporte Tarek en brandissant son arme
    
    — Et toi tu vas regretter de n’être qu’un bleu qui a voulu se la péter, déclare Stan avant de faire un pas sur le côté.
    
    Un fracas de verre brisé retentit et Tarek s’immobilise soudain. Une tâche rouge s’étale sur ...
    ... son épaule et bientôt le voilà qui s’effondre. Il l’a poussé sans qu’il s’en rende compte, pile poil dans la ligne de mire des tireurs d’élite. Une bouffée de soulagement me submerge et je ne peux retenir un sanglot, étouffé par mon bâillon de fortune. Sokolov récupère l’arme, donne un coup avec dans la télévision, qui s’explose, arrêtant enfin ce triste spectacle, et vient me délivrer de mes entraves, tandis que l’équipe au dehors débarque pour constater l’ampleur des dégâts.
    
    — Est-ce que ça va ? me demande Stan d’une voix assez douce.
    
    — Je vais bien, il m’a juste mis une droite tout à l’heure. Rien de bien méchant.
    
    — Mais pourquoi tu n’as pas répondu à mes appels ? S’énerve-t-il soudain. J’ai essayé de t’appeler toute la journée hier. J’avais compris pour le stagiaire, je voulais te prévenir. Si tu avais répondu, il ne se serait jamais rien passé !
    
    — Je croyais que tu voulais me passer un savon. Faut dire que tu n’as pas été très loquace à l’hosto. Tu m’as envoyé chier comme une merde , j’étais sensée faire quoi ?
    
    — Je suis désolé, je pouvais pas réagir autrement, il était juste derrière toi, il aurait tout compris.
    
    -Tout compris quoi ? Il savait déjà qu’on couche ensemble.
    
    — Putain t’es une emmerdeuse ! Compte pas sur moi pour te le dire. Allez, debout. Tu peux marcher ?
    
    Mais qu’est-ce qu’il a voulu dire ? Je n’ai pas le temps de m’interroger davantage, voilà que notre collègue déboule dans la pièce.
    
    — Gavras ! Sokolov ! Nous interpelle Bertrand, ...
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