Une première fois (6)
Datte: 28/07/2023,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: Kama666, Source: Xstory
Nicolas se lève lentement, sans me quitter du regard, met une musique d’ambiance reproduisant les bruits et chants d’oiseaux d’Afrique, se saisit dans une commode de sorte de bracelets et s’avance vers le lit.
Le mâle est beau, il est calme, dominateur, sans être en érection, son sexe est lourd et volumineux, son regard est perçant, comme celui que j’ai en mémoire du lion que j’ai vu un matin au lever du soleil lors d’un safari.
Il se dirige vers mon pied gauche et y attache un bracelet, et avec la laisse qui l’accompagne, semble le fixer au lit, il se relève, tourne autour du lit, la bête ne quitte pas sa proie du regard, à mon poignet gauche, il attache également un bracelet et continue ainsi vers la droite en faisant les mêmes opérations avec mon autre poignet et cheville, en s’assurant de mon écartèlement, sans pour autant que ce soit douloureux, le résultat est que je suis totalement immobilisée, les fesses et les épaules plaquées au lit, seule la tête peut bouger et ma poitrine se soulever. Je suis un objet sexuel et... j’en suis fière !
Je vois mon image au plafond, mon corps semble absorber la blancheur des draps et s’y confondre, seuls mes seins et mon sexe éclatent dans leur impudeur et leur immobilité. Ils sont rouge carmin.
La proie est attachée, l’animal va pouvoir la déguster, et Nicolas, le bout de la langue entre les dents, vient sur le lit, s’approche de ma bouche, son sourire me glace, il m’embrasse brutalement et longuement à pleine bouche, tout ...
... en fixant sa main sur mon sein gauche, en le malaxant, le triturant avec force pour se saisir du téton et le prendre fermement, le serrer jusqu’à la douleur, le tirer vers le haut.
Je ferme les yeux, la douleur s’inscrit sur mon visage, l’ambiance musicale est à l’orage, la lumière de la chambre se tamise progressivement, les coups de tonnerre explosent de plus en plus bruyamment. Mon mâle relève la tête pour mieux m’observer, il vient s’asseoir à califourchon sur mon ventre et avec son autre main, me saisit le sein droit qui subit le même traitement, le téton souffre de la même manière, la pression est violente, s’y ajoutent une torsion et un étirement, j’ai l’impression qu’ils vont se détacher, puis de manière dosée, la tension diminue, mais ce n’est que pour me permettre de reprendre haleine, et aussi vite, cette pression se manifeste et s’amplifie, un cri s’échappe de ma gorge !... Stop ou encore ?
Je ne sais que répondre, je ne réponds rien, mais ma voix, de manière incontrôlée, dit :
— Encore.
Alors l’étirement devient plus violent, la pointe du sein monte plus haut, sans qu’il y ait torsion, et je répète très clairement :
— Encore, ce qui a pour résultat de sentir les tétons se tordre et fléchir pour mieux les saisir et tirer dessus.
— Encore, l’étirement est maximum, et la douleur devient tellement intense qu’elle semble disparaître.
Nicolas s’arrête et se jette la bouche la première sur chacun de mes seins, il prend le téton entre ses lèvres, le ...