1. Un homme et une femme


    Datte: 12/09/2018, Catégories: fh, couple, amour, volupté, intermast, Oral Auteur: Oerlikhan, Source: Revebebe

    ... le rendait fou, être à l’affût du moindre mouvement.
    
    À force de caresses, son dos lui faisait mal et sa poitrine était à l’étroit sous le tissu devenu soudain trop rêche. Elle prit sa queue à pleines mains pour bien vérifier qu’elle ne rêvait pas. Elle aimait la sentir pulser dans ses doigts, elle aimait l’empêcher de grossir, lui faire comprendre que c’est encore elle qui commandait. Elle se retourna et lui fit comprendre qu’elle voulait être nue devant lui. Elle profita de leur séparation momentanée pour observer sa bite qui raidissait pour elle. Cela l’excita encore plus.
    
    Il lui arracha ses dessous et se précipita sur ses tétons tendus à l’extrême. Elle gémit doucement en lui demandant de lui faire moins mal. Il se calma en lui redessinant le contour des seins avec la langue puis en lui couvrant le visage de baisers : cils, sourcils, paupières, joues. Elle lui prit la tête dans les mains et l’embrassa à pleine bouche. Il était à elle. Leurs langues se mêlaient, se séparaient puis se retrouvaient. Il aimait le goût de sa salive, mordre délicieusement ses lèvres minces et rouges.
    
    Elle lui pétrissait toujours la queue, le branlant en alternant douceur et force, passant sa langue de son torse musclé vers ses épaules larges. Elle voulait qu’il la serre encore dans ses bras, qu’il lui dise : « Je t’aime ». Quand elle l’entendit le lui dire, elle l’embrassa encore fougueusement. Il fallait qu’il vienne en elle, elle ...
    ... voulait qu’il la prenne.
    
    Tout en l’enlaçant, il descendit avec une lenteur exaspérante vers son cou, ses seins, puis son ventre. Il sentait maintenant l’odeur de son désir, acidulée et enivrante. Il voulait la manger et la boire, enfoncer sa bouche au plus profond, la lécher et la goûter, la posséder.
    
    Lorsqu’elle sentit sa bouche s’approcher de son sexe, elle écarta instinctivement les jambes et s’abandonna. Elle sentit sa langue lui écarter les lèvres et elle fondit. Il était là, à l’intérieur, sa bouche s’emplissait d’elle, elle se donnait à lui. Il l’aspirait, la suçait, la buvait, l’écartait, la pénétrait. Elle sentit un doigt dans son sexe suivi d’un autre. Tandis qu’il se repaissait d’elle, il la pistonnait avec ardeur de plus en plus vite, de plus en plus violemment.
    
    Son corps était devenu un champ de mines où l’on ne pouvait plus poser les mains sans provoquer une explosion. Le plaisir était trop grand, la jouissance trop intense, elle lui remonta délicatement la tête et le regarda droit dans les yeux en lui disant : « Prends-moi ! ».
    
    Il la plaqua contre le mur et l’observa quelques instants. Elle voulait qu’il la comble, qu’il la laboure. Elle était sans défense et lui incapable de lui refuser quoi que ce fût. Ils s’appartenaient. Il plaça sa queue à l’entrée de son sexe. Il sentit son gland puis sa bite toute entière s’abandonner dans un océan de moiteur.
    
    Pouvait-il l’aimer plus qu’à cet instant ? 
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