1. Un plaisir partagé est un plaisir double (11)


    Datte: 27/07/2023, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Chantalbob, Source: Hds

    ... Annie me demande à chaque fois de lui lécher sa craquette avant que je puisse la prendre. Je préfère de loin la tienne elle est suave, délicate et pudique avec son petit bourgeon qu’il faut aller chercher en fouillant tes lèvres sucrées. Surtout tu ne dis pas cela à ma femme. »
    
    « - Ce n’est pas gentil pour elle ce que tu dis, moi je la trouve délicieuse, délicate et accessible avec ses grandes lèvres qui émergent de son mille-feuilles. »
    
    Tout en discutant André posa sa main sur mes cuisses. Un trouble s’installa dans mon esprit, j’avais du mal à réaliser que nous avions baisé ensemble, qu’il me connaissait nue et qu’aujourd’hui pendant que je suis seule en sa compagnie, je me sentais prude et réservée. Annie étant absente j’avais l’impression de la tromper avec son mari et je me demandais comment aller t-elle réagir si elle nous voyait enlacer tous les deux. En attendant la main d’André avait fait son chemin en remontant mes cuisses, jusqu’à me caresser la chatte par-dessus le petit bout de tissu qui cachait mon intimité. Il me l’écarta et ses doigts étaient maintenant en train d’explorer l’intérieur de ma fente. Il se leva, ses mains glissèrent le long de mes jambes pour retirer mon string, il me demanda de soulever mes fesses pour pouvoir le sortir.
    
    « - Non…. André ce n’est pas bien ce que nous faisons, ce n’est pas correct nous devrions attendre le retour de ta femme de chez la coiffeuse pour qu’elle soit présente si tu as envie de moi, je n’aurais pas ...
    ... l’impression de la tromper. Surtout que je suis sur qu’elle accepterait sans problèmes que tu me baises. »
    
    Bien que je ne sois pas d’accord, il insista, j’avais beau lui dire : « Non ne fait pas cela » il persistait en s’acharnant à pouvoir retirer mon slip. J’ai abdiqué en soulevant mes fesses pour qu’il me dépossède de mon string. Ma robe étant relevée jusqu’à ma taille, il plongea sa tête entre mes cuisses, résignée et consentante, je lui ai ouvert la porte de mon paradis. Il écarta de ses doigts mes grandes lèvres pour accéder directement à mon petit bourgeon. Avec sa langue il souleva le petit capuchon et se mis à taquiner mon clito. Il glissa deux doigts dans mon orifice vaginal. Je mouillais comme une catin. Ma parole, il devait avoir pris des cours du soir avec son épouse qui a du lui apprendre à faire jouir une femme en lui indiquant nos zones érogènes car son cunni n’avait rien à voir avec celui qu’il m’avait fait chez moi sur la table de la salle à manger. En même temps il faisait tourner ses doigts dans mon œil de cyclope, des râles de plaisirs et des mots incompréhensibles parfois s’échappaient de ma bouche. Mon corps tout entier s’est mis à trembler, j’essayais d’aller plus loin dans la jouissance en résistant mais ses caresses buccales eurent raison de moi, je me tordais dans tous les sens, incontrôlable. André de ses bras puissants continuait malgré tout à maintenir mes cuisses ouvertes pour me bouffer la chatte. Je convulsais, d’un sursaut spasmodique, j’ai réussi à ...
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