1. Angie, la superhormone sexuelle (1)


    Datte: 26/07/2023, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Docmature, Source: Xstory

    ... ces derniers mots et après avoir vu les effets de sa molécule miracle sur un rat, une idée me vient soudainement : l’utiliser sur Sylvie, cela permettrait peut-être de la traiter et enfin de vivre une vie sexuelle épanouie. Mais comment faire ?
    
    — Attends-moi dix minutes, Laurent, je dois déposer un courrier dans un autre labo, je reviens bientôt.
    
    Et voilà, la solution s’offrait à moi. Dès Pierre sorti de la pièce, je prends une pipette et remplis un tube avec son produit miracle. Vu la taille du tube et l’efficacité d’Angie, je ne risquerai pas d’en manquer avant longtemps. Puis je glisse le tube dans une poche intérieure de ma veste, ni vu ni connu.
    
    Le reste de la journée se passe sans problème ; nous assistons, avec Pierre, à une nième victoire de notre club préféré avant de rentrer chacun de notre côté chez nous. Mais pour moi, la nuit est agitée, car j’imagine les effets que la superhormone de Pierre pourrait avoir sur mon épouse. Pendant une bonne partie de la journée suivante, je ne trouve pas le moment opportun pour l’utiliser, mais ce dernier arrive en fin d’après-midi.
    
    — Laurent, je te rappelle que nous sommes attendus chez Anne et Christophe - sa sœur et son beau-frère - pour le dîner. Et ils veulent que nous restions dormir chez eux, car demain rentrent les deux nôtres avec leurs cousins et cousines.
    
    — Non, je n’oublie pas. Je termine de me préparer et on y va. En attendant, tu peux nous servir deux cafés, ma chérie.
    
    En revenant de m’être habillé ...
    ... pour la soirée, je trouve nos deux cafés prêts à être bus sur la table de salle à manger. Sylvie n’étant pas présente dans la pièce, j’en profite pour verser dans sa tasse dix gouttes d’Angie. Si je n’ai aucune idée de la quantité nécessaire, je me dis que pour un premier essai, cela devrait aller.
    
    — Sylvie, merci pour les cafés, j’ai bu le mien, prends le tien et on y va. On va prendre le métro, cela évitera de chercher une place pour se garer et comme on dort là bas, c’est plus simple.
    
    Après avoir quitté l’appartement, nous rejoignons la station de métro. Comme il n’y a pas de changement et qu’une dizaine de stations avant l’arrivée chez la sœur de Sylvie et son mari, cela ne devrait nous prendre qu’une petite demi-heure. Après le quatrième arrêt, où la plupart des voyageurs sont descendus, nous nous retrouvons qu’à six dans la voiture : Sylvie, moi, deux jeunes hommes noirs assis sur le carré en diagonale, casque sur les oreilles, et deux autres hommes, un peu plus loin.
    
    Soudain, notre rame s’arrête et peu après, un message retentit, ce message qui signifie malheureusement qu’une personne a voulu mettre fin à ses jours : « En raison d’un incident voyageur, le trafic est perturbé. Nous sommes immobilisés pour une durée inconnue. Merci de rester dans vos wagons et de ne pas essayer de descendre ». Peu après cette terrible annonce, la lumière s’éteint dans le compartiment. Je sens que Sylvie bouge, mais je ne comprends pas ce qu’elle fait exactement. Elle me glisse ...
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