1. Quatuor 3- Après midi fille


    Datte: 24/07/2023, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: ElodieParis, Source: Hds

    ... des autres. Cela était trop intime pour elle de partager cette partie de son corps. Petit détail, son cou était très érogène. Le fait que Marion le dévoile à Caro était une invitation au partage.
    
    - As-tu déjà embrassé une fille Caro ?
    
    La question gêna terriblement Caro. Elodie n’en menait pas large de son côté, devinant ou Marion les amenait. Mais les mains de Marion dans ses cheveux l'apaisèrent.
    
    - Non jamais. Je ne suis pas attiré par les filles.
    
    - Tu as tors c’est si doux,
    
    - Je n’en doute pas mais ce n’est vraiment pas mon truc,
    
    - Jamais eu d’expérience lesbienne donc ? Caro se sentit déglutir face à cette question si directe,
    
    - Non jamais,
    
    - Même ado ?
    
    - Oui même ado
    
    - Embrasser une fille ne fait pas de toi une lesbienne tu sais !
    
    - Oui c’est sûr,
    
    - Elodie a le chic pour trop bien se faire embrasser...
    
    Un ange passa. Caro sentait que le piège délicieux de Marion se refermait sur elle
    
    - Tu devrais essayer, approche.
    
    L’invitation venait de tomber, si simple, si naturelle, comme si de rien n’était. Elodie avait les yeux baissés. Caro ne voyait que sa petite bouche, ses lèvre fines, ressentant son trouble, sa fragilité, sa gêne touchante et sa respiration accélérée.
    
    - Allez, allez approche, elle ne mord pas. Embrasse-la tendrement, tu verras c’est si doux....
    
    Caro était prête à offrir son mari à Marion et voilà que Marion lui offrait sa chérie. Caro, sous ce regard incitateur à faire des bêtises marrantes, fit ce pas de ...
    ... trop. Elle était emportée par l’excitation de leur après-midi entre fille, du champagne et de la musique latino. Ne voulant pas se faire moquer par Marion, elle ne prit pas conscience de l’importance de son acte. Marion était suffisamment proche d’elle pour l’accompagner lentement vers ce baiser, posant sa main sur sa nuque, la poussant délicatement à s’approcher des lèvres d’Elodie. Les deux filles avaient les yeux fermés et la distance entre elles se réduisait irrémédiablement.
    
    Le cœur de Caro battait la chamade. Elle se savait proche, ressentant le souffle tendu d’Elodie, qui devait être aussi nerveuse qu’elle. Caro effleura les lèvres de la petite Elodie, rentrant en contact avec sa fine bouche. Elle posa un petit baiser et recula son visage immédiatement retenue par la main de Marion.
    
    - Ce n’est pas un bisou ça. Non je veux un vrai petit bisou quand même !
    
    La main de Marion ne donnait aucune chance à Caro qui repartit accomplir cet acte dangereux. Ce baiser innocent risquait de sceller à tout jamais plein de choses. Leurs lèvres s’effleurèrent à nouveau, Elodie immobile et offerte, tremblante, en attente de Caro. Cette fois ci le contact se fit plus long, léger, tendre. Les neurones de Caro s’enflammèrent et de belles émotions inconnues jusque-là se firent sentir. Le temps s’était suspendu.
    
    - Tu vois que c’est doux d’embrasser une femme.
    
    La voix de Marion ne cacha pas le clic de la photo prise par son portable. Caro se recula d’un pas. Elle avait le parfum ...
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