1. Sylvie, la quinqua (1)


    Datte: 23/07/2023, Catégories: Voyeur / Exhib / Nudisme Auteur: Joren911, Source: Xstory

    ... j’ai l’impression d’être en présence d’une jeune femme qui n’accepte pas spécialement sa sexualité, enfin plutôt le fait d’avoir des envies particulières. Tout en continuant à lui caresser la cuisse, je lui répondis que, contrairement à ce qu’elle pouvait croire, c’était un désir assez répandu et qu’il n’y avait de mal à ça. Je voulais en savoir encore davantage sur ses envies, qu’elle me les précise plus. Je lui posai donc des questions de plus en plus poussées.
    
    — tu aimerais avoir les yeux bandés ?
    
    — Oui.
    
    — Les pieds et les mains attachés ?
    
    — Oui, me répondit-elle en buvant une autre gorgée.
    
    — Etre fessé, voire cravachée ?
    
    — Ses yeux s’ouvrirent en grand, avec un mélange de peur et d’excitation, puis répondit doucement, oui.
    
    Je lui racontai comment j’avais initié une femme à l’exhibition et quel plaisir elle avait eu. Je sentis dans son regard de l’envie. Ma main était montée plus haut que ses bas désormais. J’étais en contact avec sa peau. Sa respiration se faisait plus rapide. Je me rapprochai et l’embrassai. Elle se laissa totalement faire. Ma main continua de monter et mes doigts frôlaient un agréable tissu en dentelle qui était déjà bien humide. C’est à ce moment qu’Aurélie revint. Nous n’avions pas vu l’heure passer.
    
    Dès que la maîtresse maison arriva dans le salon, Sylvie fit comme si rien ne s’était passé. Aurélie, pas dupe, nous a dit.
    
    — Ah, j’ai interrompu quelque chose ». Sylvie était pivoine. Puis elle enchaîna en rigolant, vous ...
    ... aussi, vous n’avez pas conclu ce soir ? Si vous voulez, j’ai une chambre d’ami pour que vous puissiez finir ce que vous avez commencé.
    
    — Sylvie bredouilla des « Non... Mais heu..... c’est pas..... et puis..... »
    
    — Allez arrête, je ne suis pas stupide. La chambre se trouve en haut, au fond couloir à droite. Amusez-vous bien, nous dit Aurélie en partant vers la cuisine.
    
    Sylvie me regarda avec un mélange de honte et d’envie de monter. Je la pris par la main et l’emmenai vers l’escalier. Arrivés en haut, je la plaquai contre le mur, lui ôta son tailleur tout en l’embrassant. Puis je lui mis une main dans la nuque et l’autre sur ses fesses pour la coller encore plus contre moi. Je l’emmenai de nouveau dans le couloir qui menait à la chambre, tout en lui enlevant sa jupe et son chemisier. Elle avait un soutien-gorge en dentelle qui mettait en valeur son bonnet D et un délicat string blanc. C’est alors qu’elle me dit.
    
    — Non, pas ici, dans le couloir, Aurélie pourrait nous surprendre.
    
    Nous n’étions plus très loin de la chambre, alors j’accédai à la demande. A peine rentré, je lui administrai une belle fessée, en lui indiquant que c’était la dernière fois qu’elle me désobéissait. Je n’eus aucune réponse. Je lui en administrai une deuxième en lui demandant si elle avait bien compris. Elle me répondit un « oui », qui sonnait comme un enfant qu’on venait de gronder. Tout en lui dégrafant son corsage, je lui indiquais que j’allais faire ce qui me plairait. Je fis tomber son ...