Ma soeur, un fantasme inaccessible ? (1) - Histoires de Sexe

Ma soeur, un fantasme inaccessible ? (1)

Bonjour à tous et bienvenue dans ma première histoire. Soyez indulgents sur ma prose, c’est la première fois que je me lance dans la rédaction d’une fiction. Je tiendrai compte de vos remarques. J’aimerais aussi préciser que le début de l’histoire sera tiré de faits réels, puis on passera petit à petit sur de la fiction qui en quelque sorte retranscrira mes fantasmes. J’espère que vous apprécierez !

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Je me présente, je m’appelle Louis, j’ai 22 ans et je suis étudiant. Cela fait maintenant depuis le lycée et mon arrivée en internat que j’ai quitté le domicile familial. Ma sœur Nolwenn a 18 ans et vit encore chez nos parents. Une petite aux cheveux châtains et ondulés, 1,55 m, fine, avec des belles fesses bien rebondies et une poitrine ferme et généreuse. Nous sommes une famille tout ce qu’il y a de plus normal, on s’engueule parfois, mais on s’aime quand même.

Il y a maintenant quelque temps, je revenais d’une soirée en train et je n’avais pas du tout dormi. Je somnolais à ma place dans le wagon et je réfléchissais aux moyens de me donner du plaisir une fois arrivé à la maison. Il faut dire que ma libido est plutôt du genre omniprésent et je peux avoir envie n’importe où et n’importe quand. Ce jour-là, ma famille était partie pour la journée et je serai seul à la maison. Étant célibataire et adepte de la masturbation et de la ...

... pornographie, je commençais à avoir fait le tour de la question et cherchais sans cesse de nouvelles sources d’excitation. Quelle nouvelle catégorie explorer sur mes sites préférés, à quel endroit de la maison, ou d’ailleurs me donner du plaisir, voilà toutes les questions que je me posais sans cesse.

Assis dans le train, je me remémore aussi mes premiers fantasmes. Assez tôt à l’adolescence, j’ai commencé à être excité à la vue de la lingerie féminine. Ça a commencé chez ma tante qui suspendait ses ensembles en dentelles pour les faire sécher dans son jardin. La vue et le toucher de cette matière délicate me plaisaient, mais c’est surtout le fait d’imaginer que ce tissu a été en contact avec l’intimité d’une femme qui m’excitait. Parfois, je réussissais à en « emprunter » quelques-uns et à m’isoler pour me masturber avec ce doux tissu, et parfois même essayer les jolis ensembles. Lorsque j’étais invité chez quelqu’un qui avait une mère, une fille ou une sœur qui me plaisait, je prétextais une envie pressante pour me retrouver dans la salle de bain et pouvoir fouiller tranquillement dans le panier à linge sale. Ahhh cette douce odeur de cyprine et de transpiration, un délice !

Une secousse du train me fait reprendre mes esprits. Mes neurones se sont reconnectés et j’ai enfin eu l’idée du siècle ! D’un côté un vieux fantasme que je ne peux que très rarement assouvir. De l’autre une jeune femme magnifique qui vit sous le même toit et qui forcément porte des sous-vêtements. ...