histoire intemporelle (2)
Datte: 22/07/2023,
Catégories:
Gay
Auteur: Etrenu, Source: Xstory
... sève, tellement plus fine que la mienne ! Je déguste tout, le gland, la hampe, le nectar qui coule dans ma gorge. Je me rengorge de ce délice.
C’est un véritable déchirement quand l’homme me dit de stopper ma becquée. Il doit m’attraper par les épaules pour me forcer à reculer. Le garçon est hagard. Je suis incapable de m’arrêter, tétant dans le vide. Et l’homme rayonne de joie. Il me dit toute sa satisfaction à me voir aimer cela. Il me dit que je suis des leurs. Que je suis un homme, un vrai.
Le garçon écarte l’homme pour se jeter sur ma bouche et m’embrasser sauvagement. Je fais un pas en arrière sous l’assaut, bascule presque mais me heurte au corps de l’homme venu fort à propos me servir de pilier dorsal. Avec son pilier toujours aussi droit qui retrouve sa place contre mes fesses.
La sensation est incroyable : ma bouche assaillie par une langue dévastatrice, deux dards écrasés entre nos ventres et le manche qui coulisse contre ma raie. Car instantanément j’ai commencé à me frotter dessus. Doucement au départ puis de manière plus franche.
Grâce aux mouvements de mon corps le garçon voit bien ce que je suis en train de faire. Il rit et m’encourage entre deux assauts buccaux. Il me dit que c’est bon, qu’il adore aussi sentir un membre contre ses fesses, que c’est un bon début avant de le sentir bien profond dans ses fesses.
S’il met un terme à ce baiser farouche, c’est pour me conduire devant la cheminée, près des seaux. Quand il se saisit de l’éponge, je ...
... comprends que mon tour d’être lavé est venu. Je fais comme eux, je lève les bras, j’attends, je me soumets à son caprice.
La vision de mon sexe toujours tendu vers le ciel me réjouit. Mon corps est à l’unisson de ce que je ressens. Nu, je me sens pleinement libre en train de bander devant deux hommes en rut.
Il me lave tranquillement, méthodiquement. Il commence à humer mes aisselles, grogne sans que je sache si c’est de plaisir ou de dégoût car je sens moi-même l’odeur de labeur qui s’en dégage.
A la réflexion, il y revient quatre ou cinq fois, s’emplissant les narines de mon odeur de sudation, preuve qu’il aime cela. Curieux, moi je ne trouve pas cela agréable. Sauf que cela m’excite, parfois, au milieu d’une pignolade, quand je renifle dessous un bras.
Il me lave devant, entièrement, soigneusement. Tous mes poils sont hérissés. Il faut dire que je me délecte de l’homme qui nous regarde silencieusement, avançant son bassin lascivement d’avant en arrière, mimant l’enculade qu’il a donnée au garçon.
Le garçon qui s’abaisse pour me nettoyer le bout avec ses lèvres, avant de passer sa langue partout sur ma hampe et sur mes bourses. Je ne cherche plus à taire mes gémissements. Au contraire, ils sont pour lui un encouragement. Même pour l’homme, qui accentue ses balancements.
Je suis au bord de l’explosion. Il le sait. Il le sent. Il le goûte. Alors il stoppe sa douceur, me ramenant à ma nudité soumise qui doit être entièrement lavée.
L’éponge passe sur mon ...