1. Un retour chaleureux (15)


    Datte: 19/07/2023, Catégories: Transexuels Auteur: Robin3538, Source: Xstory

    ... nouveau sa bite dans ma bouche, la pompant avec ardeur. Mais au bout de quelques secondes, mon amante me repoussa tout en douceur et le souffle rendu court par l’excitation.
    
    — Attends stop ! Je ne vais pas tenir...
    
    Je compris sans mal où elle voulait venir, je me relevai donc et l’embrassai avec tendresse avant de me retourner. Je me penchai sur le lavabo, puis crachai dans ma main avant de me lubrifier généreusement le cul. Anne attendit patiemment que je m’appuie sur le lavabo pour me pencher davantage, puis je la sentis timidement passer sa bite le long de ma raie. Ses gestes étaient malhabiles et hésitants, si bien que je décidai de finalement lui donner un coup de main en attrapant son membre pour le diriger vers mon anus. Je la sentis s’appuyer sur mon trou du cul, imposant une pression qui devenait de plus en plus forte, jusqu’à ce que je lâche un petit hoquet de surprise quand sa bite commença à subitement s’enfoncer en moi. Je me mordis les lèvres alors que mon anus s’ouvrait peu à peu pour céder le passage à sa bite, qui m’emplit avec une sensation de déchirement qui devint étrangement satisfaisante au bout de quelques secondes.
    
    — Aah, ta bite est énorme ! lâchais-je subitement.
    
    — Ça va ? Tu veux qu’on arrête ?
    
    — Non non, c’est bon aussi...
    
    — Pour moi aussi ! Ton cul est si serré !
    
    Sur ces mots, elle commença à esquisser un petit mouvement qui me fit gémir de douleur avant de m’arracher un soupir de plaisir. Il fallut qu’elle entame quelques ...
    ... va-et-vient pour que mon cul ne s’habitue vraiment à cette intrusion et à partir de là, la sodomie commença à vraiment devenir jouissive. A chaque fois qu’elle s’enfonçait en moi, je sentais ses couilles venir frapper les miennes et mes chairs s’écarteler davantage sur son passage. Toutefois, la douleur se faisait peu à peu de plus en plus lointaine et ses mouvements en moi devenaient un massage intense et terriblement excitant.
    
    Il y avait en effet quelque chose de fort à se faire ainsi sodomiser par une femme dont la bite était de chair et à l’entendre gémir de plaisir de sa douce voix. Peu à peu, elle accélérait le rythme qui se faisait de moins en moins doux, mais avec un aspect si jouissif que je sentais mes jambes déjà faiblir.
    
    — Tu veux qu’on se mette ailleurs ? Me demanda-t-elle.
    
    — Oui... Allons sur le canapé...
    
    Le souffle court, je le sentis se retirer de moi et me laisser un peu d’espace pour me redresser. Mon cul ouvert me faisait une drôle de sensation et je me sentais déjà impatient d’avoir à nouveau sa bite en moi. Je l’embrassai donc tendrement, puis l’entraînai jusqu’au salon où je m’allongeai sur le canapé, puis mis un petit coussin sous mes fesses avant d’écarter les jambes. Avec un petit sourire excité, sans doute à l’idée de se retrouver de l’autre côté d’un classique missionnaire, Anne s’installa à son tour sur le canapé, puis dirigea son vers mon cul, dans lequel elle s’enfonça sans le moindre mal.
    
    Je poussai un profond soupir de plaisir, puis ...